1. Rencontre de M


    Datte: 20/10/2020, Catégories: fh, hplusag, jeunes, extracon, forêt, boitenuit, voiture, amour, dispute, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral pénétratio, jouet, portrait, amourpass,

    ... suives, que tu m’espionnes. Je l’avais dit à Sandrine que c’était toi quand une Mondéo nous a doublées comme une formule un. J’avais pas vu le numéro. Sandrine m’a dit que ça ne pouvait pas être toi, puisque tu savais pas où on allait. Si, c’est lui, on fait demi-tour et on va aux « Cendrilles ». Je lui ai dit de continuer jusqu’ici, qu’on verrait bien… Me tournant les talons, elle lança : — Viens Sandrine, on va danser ! Elles dansèrent tranquillement jusqu’au moment où trois mecs se sont approchés d’elles. L’un d’eux leur dit quelque chose. Un deuxième s’adressa à « M », lui sourit. Elle lui rendit son sourire en se mettant à onduler de partout sur le rythme endiablé du morceau de musique. Il y avait, maintenant, beaucoup de monde sur la piste. Ça se remuait, ça se trémoussait dans tous les sens. Le DJ enchaînant par un slow, la piste se vida, trois ou quatre couples commençaient à danser. Je vis le jeune « souriant » parler au creux de l’oreille de « M ». Répondant par un acquiescement, elle se dirigea au milieu de la piste suivie par le chevalier « souriant ». Il l’enlaça. Elle se colla contre lui. Elle l’allumait… Je m’énervais… Elle se frottait… Je bouillais… Elle se plaça à cheval sur la cuisse du jeunot et s’y frotta en écartant ses jambes. C’en était trop, je ne pouvais pas en supporter davantage. Je me précipitai sur la piste, attrapai « M » par le bras et l’attirai dehors. Le pauvre mec restant, les bras ballants et probablement la bite raide, comme un con au ...
    ... milieu de la piste de danse. Sans un mot jusqu’à la voiture, je la fis monter, d’autorité. Puis m’installai derrière le volant. Pas un mot, ni elle, ni moi. Pendant de longues minutes, silence total hormis le bruit de son essoufflement. Je m’allumai une cigarette, lui en tendis une, elle la refusa d’un signe de tête. — Bon, on en est où ? Tu voulais me faire chier ? Me rendre jaloux ? Tu as gagné ! Ou bien alors, tu avais, simplement, besoin de te faire mettre par un autre, de jouer à l’allumeuse, à la salope ? À moins que tu en aies assez de moi ? Elle restait prostrée contre la portière sans mot dire. Me taisant, je réfléchissais, je cherchais à comprendre. Car, je n’avais pas compris, rien compris. Je l’aimais, elle m’aimait, pour moi c’était simple, c’était clair. — Réponds-moi, dis-moi quelque chose ! Toujours pas une seule parole, seulement un petit reniflement. Je croyais qu’elle pleurait. Je me penchai vers elle pour en avoir le cœur net. Non, elle ne pleurait pas. Son regard était perdu devant elle, dans le vague. Elle renifla de nouveau. Nous sommes restés un long moment silencieux, l’un et l’autre appuyés chacun contre sa portière. J’en étais à ma troisième cigarette d’affilée. Je décidai de reprendre la parole quand je l’aurais terminée, on n’allait pas y passer la nuit. — Bon, alors, si tu en as assez de moi, si tu veux reprendre ta liberté, c’est facile, tu me le dis, tu descends de la voiture, tu retournes voir ton Apollon et tu t’envoies en l’air avec lui. Je ...