1. Mes premières rencontres


    Datte: 24/10/2020, Catégories: ffh, fplusag, jeunes, vacances, plage, cérébral, revede, odeurs, Oral préservati, pénétratio, humour, prememois, occasion,

    ... bras autour de moi, vos lèvres, vos seins, vos cuisses ouvertes… Son appartement est au sixième étage. L’ascenseur est petit mais ne tombe pas en panne. C’est gentil chez elle. Elle boit du thé. Moi aussi. Il y a des lithographies sur les murs du salon. Sous la table basse en verre, un tapis. — Ces fenêtres donnent sur la plage ?— Oui. Avec du double vitrage, à cause de la circulation sur le remblai. Je me lève pour voir. Le vent du nord a chassé quelques nuages, le soleil se montre un peu. C’est un signe, elle va me rejoindre. Non, elle s’étire sur le canapé, comme une chatte lascive. Ou comme une femme bien dans sa peau, qui attend qu’un ballot prenne enfin l’initiative. Il y a de la place à côté d’elle. Je m’y mets. Après avoir avalé ma salive et respiré un bon coup, j’attaque en posant ma main sur son genou que sa courte jupe dévoile. — Vous êtes incroyablement jolie. Elle se lève pour aller devant la fenêtre. — C’est vrai que le soleil revient. Elle m’invite donc à la rejoindre. Je dépose un baiser sur sa nuque blonde. Elle ne bouge pas. J’avance mon bassin contre ses fesses et je referme mes bras autour de ses épaules. Il m’est facile ensuite de descendre une main tremblante sur un sein puis de la glisser sous le chemisier et d’aventurer un doigt sous le soutien-gorge. Mais elle enlève gentiment ma main pour se tourner vers moi, les lèvres entrouvertes. — Embrasse-moi. Je ne fais pas exprès d’être maladroit, elle m’intimide. Mais je savoure sa langue souple, son corps collé contre le mien, ses mains sur mes tempes puis sous ma chemisette, qu’elles ont fébrilement déboutonnée. C’est elle qui met fin à notre baiser. Elle éloigne son torse mais pas son bas-ventre. Ses yeux sont bleus, avec quelques taches plus sombres. Elle me sourit, mutine. — C’est la première fois, hein ?— …— Tu n’as encore jamais fait l’amour ?— Non, jamais.
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