La quatrième femme de ménage est la
Datte: 25/10/2020,
Catégories:
Hardcore,
Sexe Interracial,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... Ma queue est épaisse naturellement et l’afflux de sang lui donne une consistance bien ronde et lourde. J’avais l’impression d’être un acteur de peep-show… Au bout d’un moment, je dus bien me résoudre à passer un peignoir, ce qui je fis lentement. J’ouvris enfin la porte battante et vis Carine qui finissait de faire mon lit.— "Ah, tu es là, Carine" dis-je innocemment.Elle me regarda un peu embarrassée; dans la pénombre je vis pourtant à quel point son visage était écarlate. Nous discutâmes pendant plusieurs minutes ainsi puis me vint une idée assez diabolique.— "Dis-moi, Carine, en sommes toi et moi, on est comme frère et sœur, non ?"— "Oui…en quelque sorte" répondit-elle avec un sourire en coin.— "Alors, pas de gêne entre nous" et j’ôtai mon peignoir devant elle.Carine eut un petit cri et dit :— "Oh….Pierre!".Elle me fixa, tout comme Esmeralda plus tôt. J’étais aux anges et en même temps presque ivre d’émotion et d’excitation. J’éclatai de rire et renfilai mon peignoir en lui disant.— "Bon, maintenant, tu sais tout de moi mais moi, je ne sais rien de toi!".Tout d’un coup, l’ambiance s’alourdit. Malheureusement pas dans le sens que j’escomptait.— "Et puis quoi encore" s’exclama Carine, visiblement courroucée.— "Hé, attends, Carine, c’était une simple blague".Elle se calma mais je sentais bien que je ne pourrais pas aller un millimètre plus loin. Nous descendîmes ensemble par l’escalier en devisant de choses et d’autres puis Carine pris congé et s’en alla.Toujours en peignoir ...
... (et oui, le moins que l’on puisse dire, c’est que je n’avais pas eu beaucoup l’occasion de m’habiller ce matin-là!), je vins m’asseoir dans le salon, histoire de souffler un peu et de digérer mes frustrations. Dans la cuisine, Esmeralda avait finit le repassage. Elle préparait le déjeuner. Je regardai l’horloge qui indiquait 10 heures à peine. Je demandai à Esmeralda si tout allait bien. Elle s’était recomposée et me répondit d’un franc "oui, oui, Monsieur, très bien" qui me donna le frisson. "Que faire, maintenant?" me dis-je. " Je ne vais tout de même pas tout arrêter là, zut, je suis excité comme c’est pas permis; il faut trouver l’ouverture, à nouveau". Sur ces conclusions bien senties, j’allai m’habiller.Au bout d’une demi-heure, je redescendis et pris place au second étage, dans mon bureau. Toujours sur ma faim, j’allumai mon ordinateur et me connectai sur Internet. Bien entendu, j’en vins très vite à surfer sur des sites érotiques et pris la peine de rendre visite à Revebebe. Je choisis quelques histoires au hasard des critères. À nouveau, l’excitation me gagna. Je défis la braguette de mon pantalon, ouvris ma ceinture et commençai à me caresser d’une main distraite, en lisant. J’entendis Esmeralda monter avec l’aspirateur. Lorsqu’elle arriva sur le palier, j’avais pu cacher ma tenue. Elle me regarda et me dit qu’elle allait aspirer à l’étage, me demandant si cela ne me dérangeait pas. Mon bureau donne sur le couloir, couvert d’une épaisse moquette de laine qui requiert ...