La quatrième femme de ménage est la
Datte: 25/10/2020,
Catégories:
Hardcore,
Sexe Interracial,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... un entretien fréquent. La chambre d’amis, juste à droite en était pourvue également. Esmeralda besognait à quelques mètres de moi. J’avais tout le loisir de détailler ses formes. Son jean’s 501 (comment peut-on en porter un lorsqu’il fait si froid dehors!) bien serré mettait en valeur son joli cul rond. Son chandail bien au corps dévoilait une petite poitrine que je soupçonnait être légèrement pendante. "Qu’importe", me dis-je…"Quel bien joli cul". À mesure que je la voyais marcher, se retourner, se baisser, se relever, comme dans une danse domestique, je sentis un désir inextinguible monter en moi. Je m’étais juré vouloir m’en tenir à l’exhibition, voire une pipe, si Dieu le veut mais pas au-delà. Je perdais pied dans mes résolutions que je trouvaient presque grotesques maintenant. " Je n’en peux plus, tant pis, advienne que pourra!!!".D’un bond, je me levai, débraillé, la bite à l’air. En quelques pas, j’étais près d’elle. Elle se retourna, me vit, pâlit et laissa tomber le manche de l’aspirateur. Debout, les yeux fermés maintenant, elle semblait attendre. Je pris ses mains et l’attirai vers moi, très doucement.— "Oh, Monsieur…Monsieur…Monsieur" murmura-t-elle.Je mis mon bras autour de ses épaules et la guidai vers la chambre d’ami. Là, toujours lentement, je la fis se coucher sur le lit. Ses yeux à demi-clos me scrutaient. Les bras écartés, offerte, immobile, elle attendait. Je repris ses mains dans les miennes et l’amenai à s’asseoir sur le bord du lit. Je baissai mon ...
... pantalon et mon slip, pris ma queue et la guida vers sa bouche. Elle fixait ma bite et mes couilles, sans bouger. J’approchai ma queue de ses lèvres, jusqu’au contact. Elle n’ouvrit pas les lèvres. Je poussai ma bite légèrement en avant et, enfin, la délivrance… Sa bouche s’entrouvrit puis s’ouvrit largement; elle avança la tête, ses boucles noires cachant presque ses yeux, et se mit à me sucer. Mes jambes tremblaient. Ses mains s’agrippèrent à mes cuisses puis vinrent toucher mes couilles lourdes dans un geste hésitant. Je ne pouvais m’empêcher de faire jouer mon bassin d’avant en arrière, dans un mouvement lent de va-et-vient. Elle me suçait et me caressait les couilles avec candeur et inexpérience. Cela m’excitait encore plus.Après un temps que j’ai oublié depuis, je me déshabillai entièrement et entrepris de la déshabiller aussi. Elle était totalement passive mais dans ses yeux brillait le désir. Une fois nue, Esmeralda se coucha, dolente. Je détaillais ses formes, sa peau sombre d’indienne d’Amérique du sud, sa toison développée, ses petits seins aux aréoles brun foncé dont les longs tétons dardaient. Je bandais comme un fou et j’avais le plus grand mal à ne pas la prendre comme un soudard. Je m’agenouillai entre ses cuisses que j’écartai lentement. Nos regards se croisèrent. Elle ne semblait pas comprendre où je voulais en venir. Docile, pourtant, elle écarta les cuisses plus encore lorsque je commençai à la lécher. À peine ma bouche était elle entrée en contact avec sa ...