1. Comment nous échapper ?


    Datte: 26/10/2020, Catégories: ff, forêt, campagne, jardin, massage, intermast, Oral

    ... mais je voulais vous sortir de là.— Mais pourquoi, tu nous as amenées ici !— Oui, je sais, mais je ne pouvais pas faire autrement. J’avais besoin de vous !— Mais ? Comment ?— Ecoutez, je ne peux pas tout vous expliquer ici, je le ferai plus tard lorsque nous serons tirées d’affaire.— Tirées d’affaire ?— Vous n’êtes pas en danger, mais il vaut mieux pour vous que vous vous sauviez d’ici.— Mais Marjorie, pourquoi nous avoir amenées ici, si c’était dangereux ?— Non, pas dangereux en tant que tel, mais par contre, vous aviez des chances de subir un chantage plus ou moins contraignant.— Comment ça ?— Les vidéos tournées, toutes les caméras disséminées dans la maison et le parc fourniraient à Françoise de quoi vous faire faire n’importe quoi, y compris ce que vous ne voudriez pas.— Oh ? Mais le mot de passe ?— Le mot de passe, une amie l’a essayée, elle a effectivement été libérée de suite, mais ils n’ont pas hésité à lui faire parvenir certaines vidéos ou photos de temps en temps, lui rappelant ses caprices. Elle a changé d’adresse et maintenant tout va mieux. Mais elle a eu vraiment peur.— Mais je croyais ?— Moi aussi… je croyais… et c’est pour ça que je veux vous tirer de là. Je vous aime beaucoup toutes les deux et je ne veux pas qu’il vous arrive la même chose.— Oui, ok, mais comment on sort d’ici ? La grille est fermée !— Ne vous occupez pas de ça, il y a un passage au fond du pré, on peut passer avec la voiture mais il faut attendre la nuit.— Et les cassettes ?— Ne ...
    ... t’inquiète pas pour ça, une amie s’en occupe. Anne serrait ma main dans la sienne, elle comprenait maintenant ce qui m’inquiétait. Marjorie nous tendit un sac avec des vêtements nous invitant à les passer. Anne et moi nous nous déshabillâmes rapidement pour enfiler un survêtement noir. Marjorie nous demanda de rester sous le couvert des arbres tant qu’il ne ferait pas nuit. Je lui demandais ce qu’elle allait faire. Marjorie sourit : — Premièrement, vous n’êtes pas les seules à fuir. Moi aussi je vais leur fausser compagnie ce soir. J’avais tout prévu depuis de longues semaines, je voulais le faire hier mais votre venue à modifié nos plans.— Comment ?— Je suis désolée… Je n’avais pas trop le choix. J’étais avec Françoise, la femme en noir, au moment où vous m’avez appelée hier matin, et je ne pouvais pas faire mine de ne pas vous connaître, elle a vu nos clichés.— Et alors ?— Et alors elle a écouté notre conversation et m’a invitée à vous amener ici.— Mais comment ?— Je ne pouvais pas l’alerter faisant mine de vous protéger, je devais lui faire croire que j’étais prête à vous livrer simplement pour le plaisir. Si j’avais hésité ou tergiversé, elle se serait dit qu’il y avait anguille sous roche et elle aurait sûrement pris des dispositions— Quelles dispositions ?— Je ne sais pas, mettre des documents compromettants à l’abri, faire des copies pour avoir un moyen de pression. Sans vouloir vous vexer, même si vous êtes très cochonnes, vous n’êtes que des innocentes pucelles comparées à ...