Comment nous échapper ?
Datte: 26/10/2020,
Catégories:
ff,
forêt,
campagne,
jardin,
massage,
intermast,
Oral
... faire encore un peu attendre, mais avec quelques outils, il cédera facilement.— Ok, mais dis-moi, tu semblais pourtant prendre beaucoup de plaisir avec nous ou avec Françoise.— Oui, c’est vrai, mais c’est l’idée de contrainte que je ne supporte plus, je veux être libre de vivre ce que j’ai envie de vivre. Et même si j’aime les pratiques un peu extrêmes, ça ne m’empêche pas de vouloir être totalement libre.— Je comprends. En quelque sorte nous l’avons échappée belle !— Si tu veux, oui, mais encore une fois il n’y avait rien de dangereux. Plutôt de contraignant.— Tu as vu la grange ? Et ce qu’elle cache ?— Oui, quelques fois, mais franchement j’y ai passé peu de bons moments, l’atmosphère est vraiment désagréable.— Oui, Fabienne était blême en voyant les instruments, nous sommes sorties rapidement et je dois avouer que j’étais contente de me retrouver à l’air libre. En même temps, j’avoue que j’étais curieuse de voir tout ça.— Tu es vraiment une nympho, Anne ! Tu devrais te méfier quand même un peu davantage. Nous nous sentions mieux et presque en sécurité. Néanmoins j’étais impatiente de me retrouver chez moi, avec Anne. Je demandais à Marjorie ce qu’elle avait prévu de faire pour la suite et lui proposais de venir avec nous au chalet avant de nous séparer le lendemain matin. Personne ne connaissait l’adresse ou le chemin de notre retraite et elle semblait s’imposer d’elle-même. Marjorie accepta avec joie de nous suivre. Puis soudain elle se renfrogna. — Le seul truc que je ...
... n’avais pas prévu…— Quoi, il y a un problème ?— Oh pas vraiment…— Quoi, dis-nous ?— Je n’avais pas prévu d’avoir autant de temps à attendre ma complice. Vous n’avez pas une idée ?— Oh, moi j’en ai une ou deux, et toi Anne ?— On pourrait déjà commencer par lui raconter notre journée, non ? Et nous lui racontâmes notre journée en faisant l’impasse sur les cassettes qui la concernaient. À la fin de notre récit, Marjorie nous traita de dévergondées, de nymphomanes, de cochonnes perverses en riant. Puis elle ouvrit la tirette de son survêtement. C’était le signal, Anne et moi nous nous sommes jetées sur sa poitrine, couvrant ses seins et sa gorge de baisers. Marjorie caressait nos cheveux, elle pouvait être douce aussi, et je découvrais ce que j’espérais être son vrai visage. Elle ondulait sous nos caresses. Anne défit le noeud de son pantalon et le baissa révélant un string qui ne tarda pas à rejoindre le sol. Je me déshabillais à mon tour et enlaçais Marjorie, Anne nous caressant toutes les deux. Je me retournais pour embrasser Anne à pleine bouche tandis que Marjorie lui ôtait ses vêtements. Nues, nous nous sommes lancées dans un fabuleux baiser à trois, nos langues se touchant, nos corps se serrant. Dans la pénombre nous ne savions quelle langue nous léchait, quelle main nous caressait, quel doigt nous pénétrait. Soudain un craquement nous tira de notre plaisir. Aux aguets et silencieuses, nous tentions de percer l’obscurité pour connaître la source du craquement. Après de ...