Mon ingénue de 4 heures...
Datte: 27/10/2020,
Catégories:
f,
h,
vacances,
volupté,
fdomine,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
init,
Il est des soirs de la semaine où rentrer tôt du bureau peut vous transporter de joie. Pas la seule joie humaine du fait de partir du travail plus tôt que d’habitude. Pas celle non plus de retrouver une éventuelle famille. Ni celle encore de se retrouver seul, à la maison, face à une montagne de petites choses à faire et à régler. Non, la joie simple de se planter devant la fenêtre, un grand verre d’eau fraîche à la main et de contempler le paysage des toits et terrasses que vous dominez, du haut de votre septième étage. La joie de découvrir, sur le toit-terrasse de l’immeuble voisin, le charmant spectacle de son occupante, en train de bronzer nue, intégralement nue, pile et face. Et vous restez là, moitié dans l’ombre fraîche de votre appartement, moitié le nez collé à la vitre, osant à peine bouger ni respirer de peur que le moindre mouvement ne signale votre présence. Elle est bien mignonne l’occupante du toit terrasse d’en face. Elle est même, très… mignonne ! Vous ne l’aviez jamais autant vue, reluquée sous toutes les coutures et dans le plus simple appareil, jusqu’à ce jour. Vous en êtes même à vous surprendre de constater que c’est la première fois que vous vous apercevez de sa présence. Et, transformé en statue, vous ne cessez de l’observer, de l’épier. Elle, brune, des cheveux mi-longs, raides qui brillent dans le soleil. Son corps, entièrement halé est presque doré. Ses seins, en pomme, sont marqués de petits tétons bruns, pointus. son ventre plat est orné d’une ...
... petite et minuscule bande de poils qu’elle doit prendre grands soins à entretenir. Ses cuisses, fuselées, musclées, le galbe de ses mollets, ses pieds fins à la plante blanche, vous laissent songeurs. Les bras légèrement écartés, les mains parfaitement étalées sur une serviette d’une blancheur virginale, elle semble absorber le soleil, s’en repaître. Puis, soudain, dans un mouvement gracile elle se tourne, vous permettant d’admirer une sublime paire de fesses, charnues, rondes aussi dorées qu’un pain d’épices. Sans oser bouger, toujours à l’affût derrière votre baie vitrée, vous voilà ruisselant à grosses gouttes. La bouffée de chaleur qui vous envahit n’a rien à voir avec la température estivale extérieure. Elle accompagne un sensible raidissement de votre sexe qui tape contre le tissu de votre pantalon et marque une légère bosse à votre entrejambes. A plusieurs reprises, vous tentez de maîtriser votre respiration, le léger tremblotement de vos mains. Mais rien n’y fait. Même quand vous fermez les yeux, la vision idyllique de ce jeune corps alangui, offert aux rayons mordant de l’astre du jour, remplit votre cerveau et annihile toute volonté. Combien de temps êtes-vous resté là ? Vous ne sauriez le dire. Ce qui est certain c’est que la demoiselle que vous surveillez est en train de plier bagage. Sans se presser, elle se lève et écarte suffisamment les jambes pour vous permettre une vision fugace et tentatrice sur une intimité imberbe. Puis elle se penche vers le sol, jambes ...