1. Mon ingénue de 4 heures...


    Datte: 27/10/2020, Catégories: f, h, vacances, volupté, fdomine, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation init,

    ... raides et vous présente une croupe tendue vers laquelle vos mains sont sensiblement autant attirées que votre regard. Le buste penché en avant, les seins, repus de chaleur, ballottent au rythme de ses mouvements. Puis, d’un geste précis, elle se redresse, secoue la tête et fait virevolter sa crinière brune, avant de se diriger d’un pas nonchalant vers la porte vitrée de la terrasse, à quelques pas de là. Le cou ankylosé, vous tentez de l’apercevoir, vacant, déambulant en tenue légère dans ses appartements. Malheureusement, les voilages et votre position vous privent de ce charmant spectacle. Marri, vous sortez enfin de votre tour de guet et le sexe raide d’émotion, vous allez vous calmer sous une douche rafraîchissante et revigorante, vous promettant que demain, à pareille heure, vous serez au rendez-vous. Votre nuit a été hantée par les visions érotiques de galipettes harassantes, non inscrites dans le Kama Sutra, en compagnie du corps de liane de votre brune voisine et par deux fois au moins, vous vous réveillez, le corps tendu, trempé de sueur, le sexe au bord de l’explosion. La seconde fois, malgré l’heure tardive, vous empoignez votre sexe d’une main et les yeux mi-clos, vous vous masturbez lentement, avec délectation, revoyant le corps exposé aux rayons de votre propre plaisir. Et la vision obsédante est tellement forte qu’en quelques coups de mains, vous obtenez une jouissance rapide qui soulage votre nervosité mais aiguise votre imaginaire. Au matin, les yeux ...
    ... fatigués, vous vous traînez au bureau et y passez une journée, l’esprit préoccupé par le temps qui passe et qui semble interminable en n’ayant qu’une seule vision : celle de votre voisine, allongée, nue, sur son toit-terrasse, à un étage de chez-vous. Et, à quatre heures pétantes, vous êtes à votre poste d’observation, le cœur battant la chamade. Cette fois, vous ne vous êtes pas encombré d’un quelconque verre. Vos deux mains sont libres et de derrières vos rideaux, vous épiez l’immeuble d’en face… Elle est là ! Votre sexe fait un bond entre vos jambes. Votre corps se couvre d’une lourde sueur. Votre sang reflue du visage puis y remonte à toute vitesse et bat à vos tempes. Vous voilà moite, fébrile. Vous ouvrez grands les yeux et ne bougez plus. Le spectacle de la veille peut reprendre… Et vous vous en délectez, jusqu’à plus soif, jusqu’à ce que votre sexe, pourvu d’un imaginaire indépendant de votre volonté, appelle votre main et que là, debout, dans l’encoignure de votre porte-fenêtre, vous vous caressiez. Sans honte, votre main sort votre sexe et glisse lentement sur la hampe, dure et raide. Puis elle entame une série d’allers et retours qui vous échauffent de plus en plus, alors que la vision de votre voisine semble se parfaire. Vous lui découvrez des détails anatomiques qui vous avaient échappés la veille. Ses lèvres semblent fines, le menton pointu. Deux mignonnes fossettes ornent les fesses. Ses mains sont fines, élégantes, aux ongles vernis… Et ce n’est plus votre main qui ...
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