Mon ingénue de 4 heures...
Datte: 27/10/2020,
Catégories:
f,
h,
vacances,
volupté,
fdomine,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
init,
... rouges (en nombre impair) que vous faîtes livrer accompagné de votre carte. Puis, le cœur léger, la semelle souple, vous vous hasardez à votre bureau où le temps vous paraît encore plus long qu’à l’habitude. Et à quatre heures, vous êtes planté devant votre fenêtre. La belle Sandra est là, aussi nue qu’au premier jour (ou vous l’avez vue). À même le sol, légèrement à l’ombre, trône dans un vase votre bouquet. Elle est allongée sur une serviette noire qui met en relief le doré de sa peau. Un bras replié sur un sein, la main posée dessus, ses doigts semblent jouer avec la pointe. L’autre bras, main à plat, repose sur le ventre, la paume au niveau des premiers poils pubiens restants, les doigts s’égarent dans l’entrejambes. Des jambes qu’elle a écarté, modérément mais suffisamment pour vous permettre de voir ses doigts se perdre au milieu de son intimité. La bouffée de chaleur qui vous envahit, vous cloue sur place. Vous n’en croyez pas vos yeux ! Oui. Elle se caresse, là, devant vous, peut-être même pour vous. Oui, c’est sûr, c’est même certain, c’est pour vous qu’elle se donne du plaisir. Et votre sexe en trésaille, se raidit, devient dur comme une barre de fer. Seulement, aujourd’hui, au lieu de l’empoigner, vous prenez une ou deux longues respirations, quittez votre encoignure, sortez en trombe de votre appartement et traversez la rue. Quatre à quatre, vous grimpez l’escalier qui mène vers la porte de Sandra et sans reprendre votre souffle, le cœur tapant dans la poitrine, ...
... vous sonnez et attendez. Une longue, une très longue minute s’écoule. Puis une seconde. Et lorsque la troisième commence à égrener ses secondes, de derrière la porte vous parvient un léger bruissement, à peine perceptible. Elle est là. Va-t-elle ouvrir ? Sera-t-elle nue ? Couverte ? Va-t-elle vous flanquer à la porte, vous rire au nez ? Mille questions viennent à votre esprit et vous embrument le cerveau. Mais la porte ne s’ouvre toujours pas. Devez-vous sonner une nouvelle fois ? L’insistance n’est-elle pas la marque de votre impatience. Dans votre pantalon, votre sexe raide, vous sert de cerveau. Le doigt déjà pointé vers le terrible petit bouton, vous voilà en train d’imaginer lui caresser le clitoris… Et toujours aucun bruit annonciateur de l’ouverture de cette maudite porte. Tant pis. Après avoir caressé doucement le bouton froid de la sonnette, imaginant que vous étiez sur un autre bouton, la tête et le ventre en feu, vous vous résolvez à appuyer dessus… Et une fois encore, vous attendez… Une seconde, deux, cinq, dix secondes… Une minute, puis encore une nouvelle longue minute… Et toujours rien. De dépit, vous redescendez les étages, montés quatre à quatre, passez la tête basse devant la loge de la concierge et rentrez chez-vous… À peine la porte palière refermée, voilà que le démon vous pousse à venir jeter un œil à la fenêtre. Sur la serviette, étalées, le bouquet de roses a remplacé le corps de la belle Sandra. Et de Sandra, point de présence. Pour vous calmer, vous ...