Mon ingénue de 4 heures...
Datte: 27/10/2020,
Catégories:
f,
h,
vacances,
volupté,
fdomine,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
init,
... passer sous la douche où par désenchantement, vous vous caressez longuement, doucement avant de connaître un bref bonheur solitaire et frustrant qui vous permet de revoir Sandra, se caresser sur sa terrasse. Pourtant, dès le lendemain, à quatre heures de l’après-midi, vous êtes là, à votre poste d’observation. Et Sandra est fidèle au rendez-vous. À l’ombre, les fleurs, comme par enchantement, sont disposées dans un vase… Vos fleurs ! Elle, sur le ventre, une jambe en l’air, les fesses proéminentes, semble lire. Vous restez à l’épier, comme d’habitude, espérant un spectacle plus osé. Ça y est, elle se retourne enfin et vous offre son corps à (re)découvrir. Assise, en lotus, jambes largement écartées, les seins ballants, elle installe posément son livre devant elle et se penche dessus, naturellement, comme si de rien n’était. Votre sang ne fait qu’un tour. Face à vous, la vision de son intimité ouverte par sa posture, vous laisse voir une entrée rose et baillante. Votre sexe se redresse, se tend et déjà vous fait mal. Sans honte, vous le libérez et tandis que vous commencez à vous masturber, n’est-ce pas au même moment que ses mains, jusque là chastement utilisées à tenir le livre, s’approchent de la cuisse, descendent vers son sexe, que ses doigts écartent, fouillent, y vont et viennent, le masturbent en même temps que vous… Et vous fixez intensément son entrejambes, dominé par les deux seins qui dodelinent au rythme d’une respiration qui s’accélère, s’amplifie… Son plaisir ...
... monte, le vôtre aussi. Vous êtes tendu, elle est prête à jouir. Elle se pâme et vous, vous éjaculez dans votre main. Alors que vos mains poisseuses vous enserrent encore, tranquillement, elle se lève, rentre et revient, jette un œil en votre direction, fait un petit signe de la main, affiche un grand sourire et s’en va… « La garce ! » dites-vous à haute voix, le sexe flapi, la main souillée. La nuit qui suit est peuplée d’images torrides, à la limite du viol, de la violence… Elle vous harcèle, elle vous nargue, vous la coincez enfin, dans un escalier… De force, vous la pelotez, lui caressez les seins, lui titillez les mamelons, les pincez, les tordez… Elle vous supplie, grimace, pleure, implore, vous offre en contre partie son corps, écarte les jambes, tend sa croupe … Et se dérobe. Vos mains l’empoignent, la retiennent, la ramènent sous vous. Impérieux besoin de la couvrir, de la pénétrer, de la forcer. Vous y êtes. Elle est chaude, humide, réceptive. Enfin elle cède après avoir fait semblant de vous refuser son accès, elle s’ouvre, vous accueille largement, sollicite, quémande, réclame votre sexe. Et vous vous repaissez d’elle, de son sexe, de sa chair. Vous la malmenez … Et vous vous réveillez, le sexe raide, les draps entortillés autour, mouillés de votre plaisir… Encore une vision, encore un rêve. Demain, promis, vous ne regarderez pas ! Promis, juré… Promesse d’ivrogne ! Vous êtes là, à quatre heures, le pantalon déjà sur les chaussures, prêt à assouvir votre gymnastique ...