1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°743)


    Datte: 28/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... faire. Là, je calcule mes gestes, m’exhibe ostensiblement, me déshabille pour le Maître et me soumets à son regard insistant et fort Dominant. - Je vois que tu as visiblement compris ce qu’un Maître attend d’un esclave, lorsque Celui-ci donne ordre de se dévêtir. - Oui Maitre, j’ai bien retenu la leçon. - Ton cul aussi semble-t-il. Tu es très marqué encore, tiens approche Les mains du Maître caressent mon cul encore boursoufflé avec de petites ecchymoses ici ou là, comme sur ma poitrine d’ailleurs. C’est fou ça ! A la vue de ces marques, je me mets à triquer instantanément, tout un symbole de dévotion, de totale soumission, de don de moi-même… - Pourquoi bandes-tu, Mon chien ? J’explique mes ressentis, le Maître m’écoute attentivement puis décide de me mettre tout de même un peu de pommade sur les fesses pour que, soit disant, mon cul ne ressemble en rien à celui d’un babouin demain matin. Cette main bienveillante et caressante me fait un effet terrible… Ma nouille est drue, ferme, presque exubérante. Je mouille tant et plus. Et dire que je m’attendais à recevoir encore une quelconque sanction ! Je suis le plus heureux des esclaves, pourtant une question me hante. Je me lance, ose, en adoptant l’attitude et la posture adéquate, à genoux devant Lui, mains sur la tête. - Que veux-tu, Mon chien ? - Merci Maître de me laisser m’exprimer, je voudrai simplement savoir si ma servitude, mon obéissance près de Messieurs Blowell et Karl étaient à la hauteur de Vos Exigences ? Le ...
    ... Maître semble soudainement agacé. - Que veux-tu de Moi, salope ! Des remerciements ? - Oh non, non Maître, juste… - Tais-toi ! Je baisse un peu plus la tête en signe de grand respect et affiche nettement mon désarroi. Le Maître me fait face, soulève mon menton pour que mes yeux se portent dans les Siens brillants de Dominance. - Tu as fait le job, rien que ton job, uniquement ton job, telle une belle trainée, une bonne catin, n’oublie jamais que tu n’es qu’une pute, Ma pute ! Suis-je clair ? - Oui Maître, merci Maître. - N’oublie jamais que je te possède totalement, entièrement et que tu dois faire exactement ce que j’exige que tu fasses ! - Oui Maître, merci Maître - Alors ne t’interroge plus et tout ira bien. Dis-toi bien que si j’avais été insatisfait, tu aurais été corrigé sévèrement, sur le champ. En attendant, couche-toi à plat ventre sur ce matelas posé au sol, il faut te reposer. Je m’allonge de tout mon long en prenant soin d’écarter les jambes et de laisser bien en vue mes génitaux entre mes cuisses ! Le Maître me pose un collier autour du cou, des bracelets autour de mes poignets et chevilles, puis m’abandonne quelques instants. Lorsqu’il revient, il tient en mains trois barres d’écartement et des larges lanières en cuir. Il soulève par le devant le matelas et installe la première barre en dessous, dans le sens de la largeur puis attache mes poignets à cette barre, de part et d’autre de ma tête tout au bord de la couche. La seconde barre est glissée sous le matelas mais ...