La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°743)
Datte: 28/10/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... cette fois-ci aux pieds de la couche. Le Maître m’attache encore, les pieds cette fois-ci sur cette barre plus grande. La troisième est insérée sous la couche à hauteur de mes genoux. Sitôt cette troisième barre définitivement ajustée et installée au bon endroit, il noue une première lanière sous mon genou gauche, juste sur le mollet, puis une seconde au-dessus, sur ma cuisse. Il s’assure que le tout n’est pas trop serré avant de faire la même chose à droite. Enfin, il attache le cuir à la barre de chaque côté sans trop tirer sur les liens, juste assez pour que je ne souffre pas de la position, mais que je ne puisse pas en changer. - Serre les cuisses ! ordonne le Maître. J’essaie, mais je suis en mesure de les resserrer que de quelques millimètres. - Parfait ou presque ! lance le Maître Afin d’améliorer la position, un coussin et poussé sous mon abdomen, faisant me cambrer d’avantage, un bandeau m’est ensuite posé sur les yeux. - Tu vas pouvoir te reposer Mon chien, réfléchir, dormir… ou pas, selon Mes envies et Mes humeurs… Je teste la position, bouge un peu, mon esprit intégrant peu à peu la contrainte dans laquelle je me trouve. Je suis prisonnier, le moindre mouvement m’est interdit, mais la situation m’excite. Je me mets à espérer de satisfaire sexuellement le Maître, mais lui ne semble pas du tout d’humeur à se soulager. Je me résigne donc et cherche à trouver le sommeil, nu, attaché, jambes écartées, offert. J’entends la porte de la chambre claquer, sans doute, le ...
... Maître vient de partir… Quelle sensation étrange que de se faire réveiller par deux doigts fouillant mon petit trou. Je n’ai rien entendu, je devais dormir profondément. Ces doigts, (à qui appartiennent-ils d’ailleurs ?) font des allers et retours imprévisibles, me faisant sursauter, gémir de plaisir ou de petite douleur, selon qu’ils caressent ou griffent. Je me tords dans mes liens, impuissant, incapable d’échapper à la Volonté de Celle ou de Celui qui me fouille. Quand tout d’un cou, ces doigts sont remplacés par un sexe long, épais et dur. - Tu aimes te faire baiser ? me demande cet inconnu, tout en continuant de me pénétrer par de longs vas et viens. A vrai dire, juste avant d’être interrogé je n’éprouvais ni l’envie ni le besoin de me faire enculer. J’étais rudement bien dans les bras de ce beau Morphée. Je réponds donc d’une manière un peu détourné. - Je suis ici pour être utilisé, Monsieur ! Car autant à l’instant présent, je ne désire pas spécialement me faire baiser, autant je ne peux nier être aux anges à l’idée de plaire au Maître, de lui permettre d’assouvir Ses exigences et de Le Satisfaire. C’est cette idée-là qui me fait bander, tel un sauvage. Ma bite excitée, droite s’enfonce dans la ouate de ce coussin à chaque fois que je prends un furieux coup de queue profondément dans le cul. Mais soudainement mon enculeur se dégage de moi, sans avoir joui, sans un mot, il me quitte. J’ai chaud, et maintenant mon cul agacé à faim et réclame, maintenant j’aimerai être pris, ...