1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°743)


    Datte: 28/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... maintenant j’aimerai donner du plaisir et pourquoi ne pas en recevoir un peu. Frustré, je tire sur les lanières de cuir retenant mes cuisses écartées. Au bout d’un temps, je cesse de gigoter, pour me résoudre à accepter la situation. Je n’ai pas d’autres choix possible. Je tente d’ignorer les appels de mon bas-ventre et me résous à me savoir manipuler comme personne, à n’être qu’un jouet, une marionnette entre des mains expertes. Ce sont sur ces idées que je retrouve le sommeil... Mon sein droit m’extirpe de mes rêves, mon téton est doucement malmené. Ces doigts ne désirent pas me faire souffrir atrocement, juste assez pour me voir réagir, me faire sentir qu’on fait de moi ce que le Maître veut. Une autre main caresse mon sein gauche avec douceur, tandis que l’autre blesse mon sein droit, étirant le téton, le pinçant, le tordant. Je gémis, tiraillé entre plaisir et douleur. Ses mains sont celles d’une femme, à ne pas douter, les doigts sont fins, avec des ongles longs entrant maintenant atrocement dans mon mamelon droit. Elle change de sein, le gauche devenant douleur et le droit douceur. Je ne tente pas de me soustraire à ses attouchements, non pas parce que je les désire, mais parce que j’aime me sentir impuissant et offert. J’adore la contrainte exercée par ces liens, alors je gigote un peu car tirer dessus ces ...
    ... liens augmente mon plaisir… je bande sec ! Au même moment, mon cul déjà bien dilaté s’ouvre et s’écarte sous la poussée d’un objet dur et froid. Je sursaute transpercé. Je reconnais l’objet, un spéculum… Il m’écarte largement. Je reste de longues minutes ainsi, sans savoir… jusqu’au moment où je sens que l’étau se desserre que l’on me retire l’objet. Mais aussitôt, une queue me pénètre sans douceur et je tremble sous les coups de boutoirs. Sans une once d’hésitation je reconnais cette bite, ce corps allongé sur moi. Le Maître dispose de Son esclave heureux et à Sa totale disposition. Il m’utilise selon Son envie et j’adore qu’il agisse ainsi. Je gigote encore, feignant me soustraire tout en sachant que cela m’est totalement vain. En réponse, Monsieur le Marquis appose sa main sur ma gorge, imprégnant ainsi sa TOTALE Domination. Je me contente alors de contracter mes muscles internes afin de masser cette verge imposante de l’intérieur, le Maître se cabre, pousse et s’enfonce encore plus profondément. Je l’entends souffler, gémir, presque râler. Je me surprends à dire : - J’aime Vous sentir en moi, Maître Vénéré ! Il jouit à ce moment précis, me remplissant profondément de son sperme chaud, de cette divine liqueur onctueuse et abondante. Je suis une nouvelle fois repu de sexe, heureux de m’être totalement donné. (A suivre…) 
«1234»