L'esclave
Datte: 31/10/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS -- Je m’appelle Marguerite de Frontignan, ou plutôt c’était le nom que je portais lorsque je vivais dans mon beau pays au nord des Pyrénées. Aujourd’hui, je ne sais même plus si j’ai un nom, tant j’ai vécu de malheurs. Mon histoire commence en l’an de grâce 1680. Je vivais heureuse dans le manoir familial, entourée de mon père, de mes frères aînés et de ma jeune sœur. Ma mère était morte en mettant ma sœur au monde. A l’âge de 17 ans, mon père décida de me marier. L’élu était un lointain cousin, vivant en République de Gênes. D’après les renseignements que j’avais de mon futur mari, je ne pouvais que me féliciter du choix de mon père. Il était jeune, beau et riche. Nous nous embarquâmes donc un matin de juin 1680 au port de Marseille. Mon père, ma sœur et deux dames d’honneur étaient du voyage. Mes frères gardaient le domaine familial. Le bateau voguait allègrement lorsque, à la hauteur de Nice, la vigie signala une voile qui se dirigeait vers nous à grande vitesse. Le capitaine était inquiet ; les Barbaresques écumaient la région. Hélas c’étaient bien d’eux qu’ils s’agissaient et l’équipage se prépara au combat. Le capitaine nous mena dans sa cabine en nous recommandant de n’ouvrir à personne, si ce n’était à lui seul. L’abordage fut suivi d’un tumulte inouï qui dura près d’une heure, puis le silence se fit, un silence de mort. Ne sachant pas qui l’avait emporté, nous étions mortes de peur, nous serrant les unes contre les ...
... autres. Des coups furent frappés sur la porte qui s’ouvrit sous la poussée. Un hurlement de joie retentit à notre vue. Celui qui semblait être le chef domina le tumulte et dit : « celle-là (c’était de moi qu’il s’agissait), je la garde pour moi ; les autres sont à vous. Aussitôt une bande de brutes s’abattit sur ma sœur et mes amies et les traînèrent en dehors de la cabine qui se referma sur moi. Par une des ouvertures qui donnait sur le pont, je puis voir les horribles sévices dont furent victimes mes compagnes. Leurs vêtements leur furent promptement arrachés et elles se retrouvèrent nues au milieu de ces sauvages. Les rires gras ponctuaient les gestes obscènes qui préludaient aux multiples viols dont furent victimes mes amies. Ma sœur hurla lorsqu’un pirate l’embrocha littéralement sur son énorme sexe tandis qu’un autre lui forçait la bouche. Une de mes dames d’honneur qui avait voulu résister fut attachée à une vergue et fouettée à sang. Ses hurlements de douleur me remplissaient d’horreur. L’autre fut couchée sur le dos, maintenue par une de ces brutes tandis qu’à tour de rôle les autres la transperçaient presque de part en part, qui par devant, qui par derrière. Lorsqu’enfin, ils la laissèrent pour s’occuper de ma sœur et de celle qui était fouettée, un liquide blanc, tâché de sang sortait de son sexe ; j’appris ainsi l’existence de la semence masculine. Après une heure de ce traitement barbare, ma sœur et les autres furent ligotées au mat et jusqu’à notre arrivée dans ...