1. L'esclave


    Datte: 31/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... cingla le visage. Je restai stoïque et sans réaction. Il frappa dans ses mains et donna un ordre à un garde. Quelques instants après, un moine entra dans la pièce. Je me crus sauvée ; il allait me protéger, peut-être me faire libérer. Je me jetai à ses pieds. - Mon Père, je vous en supplie, ayez pitié de moi. - Eh là catin ! Ce n’est pas parce que je porte cet habit que je vais prendre ta défense. Son Excellence que tu refuses d’honorer m’a pris comme conseiller et m’a fait connaître des plaisirs que dix ans de monastère ne m’avaient pas procurés. Alors ou tu exécutes ses ordres ou je suis chargé de te faire fouetter. - Je ne peux pas, mon Père, la décence m’empêche d’accomplir ce qu’on me demande. - Tu vas voir ce que c’est que la décence. A son tour, il frappa dans les mains et un garde apparut, muni d’un long fouet. Malgré mes pleurs et mes supplications, je fus suspendue à une sorte de poulie, mes pieds ne touchant plus le sol. - Dix coups pour commencer et on verra si tu refuses encore les bienfaits qu’on veut te donner. Le fouet s’abattit sur moi et je sentis des brûlures intolérables ; mais j’avais décidé de ne rien laisser paraître et je me mordais les lèvres pour ne pas crier. Je sentais la chaire de mon dos et de mes fesses qui se déchirait mais je restai muette. - Alors tu es calmée…tu vas honorer ton Maître ? - Jamais, plutôt mourir. - Achmed, dix coups de plus et par devant cette fois. Le premier coup se perdit sur mes seins ; le deuxième visa mon sexe et une ...
    ... douleur fulgurante me traversa ; le fouet avait touché mon clitoris et malgré moi, je hurlai. - Pitié, pitié, arrêtez ; je ferai tout ce que vous voudrez. - Ecoutes bien catin, à la moindre désobéissance, ce sera cinquante coups sur le point sensible que tu connais désormais. On me détacha et on me jeta au pied de celui que je devais appeler « Maître ». Son sexe avait un goût acre, désagréable, mais la peur du fouet me stimulait. Malgré mon inexpérience, je fis de mon mieux et très vite, je sentis un liquide bizarre envahir ma bouche. Je l’avalai, angoissée par la réaction du Maître si je recrachais sa semence. Je subis durant plus d’une heure des attouchements immondes, des doigts qui me fouillèrent partout ; je dus reprendre en bouche un sexe mou et faire en sorte de lui redonner vigueur sous peine de punition sévère. Finalement, c’est sur mon visage que le Maître déchargea. Le moine revint à l’appel du Maître. - Puisque tu as fait ta mijaurée, je suis obligé de te punir. Tu as maintenant droit au repos. Tu vas passer la meilleure nuit de ta vie et j’espère que cela te servira de leçon. Il me fit descendre dans les caves du palais et me fit entrer dans une cellule, plutôt un réduit. On m’attacha un collier de fer au cou, fixé par une chaîne au mur. La chaîne fut réglée pour que je ne puisse ni me tenir debout, ni couchée. Toujours nue, je fus vite envahie par le froid et l’engourdissement. Le supplice de devoir rester accroupie ou reposée sur les genoux était atroce. Je ne ...