Les autres
Datte: 17/10/2017,
Catégories:
nympho,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
humour,
sf,
... montèrent l’une après l’autre, et ni Raoul ni moi ne pûmes décoller les yeux de leurs culs parfaits. Quand elles disparurent, Raoul, tout en tentant de se rhabiller plus ou moins, tourna vers moi des yeux fascinés ; il semblait chercher ses mots. Croyant deviner ce qu’il voulait dire, je le devançai en acquiesçant de la tête. — Je te ressers un whisky ?— Oui, un énorme ! Je le servis ; on percevait déjà les cris étouffés d’Éloïse et Juliette ; en faisant mine de ne rien entendre, je lui apportai son verre ; il le prit en me demandant, toujours effaré : — Ça existe, en vrai, des nanas comme ça ?— Euh… ben, justement… commençai-je, quand je fus interrompu par la sonnette. J’eus instantanément une crampe dans le ventre, m’imaginant que les emmerdes allaient commencer. Signifiant silencieusement à Raoul de ne pas se faire remarquer, j’allai jusqu’à la porte d’entrée et l’ouvris. C’était monsieur Mulet, mon voisin. De voir que ce n’était pas l’armée qui faisait le siège de ma maison me rassura quelque peu, mais devant son air contrit, je m’inquiétai de nouveau : — Bonsoir, monsieur Shank ; je suis désolé de vous déranger à cette heure tardive, mais… Il avait l’air passablement agité et sembla ensuite chercher ses mots ; j’attendis qu’il poursuive. — Écoutez, le mieux c’est que vous veniez voir par vous-même. Sans attendre ma réponse, il m’attrapa par le bras et me tira dans le jardin, puis s’arrêta soudain et tendit la main devant lui en criant : — Regardez ! Je mis quelques ...
... secondes à m’adapter aux quelques pâles lumières de l’éclairage public qui perçaient l’obscurité de la nuit, mais déjà je m’imaginais le pire en entendant, à quelques décamètres, monter plusieurs longues plaintes et gémissements de plaisir. Je plissai les yeux et m’efforçai d’apercevoir ce que me désignait le père Mulet. Et j’eus un nouveau haut-le-cœur en découvrant non pas un couple allongé dans l’herbe à s’ébattre, mais un trio, composé apparemment d’Éloïse, de Juliette et de moi-même. Je lâchai malgré moi un cri de fureur et d’impuissance qui fit sursauter mon voisin. Je me retournai immédiatement pour regarder en direction de la fenêtre de ma chambre, tentant de vérifier si mon Éloïse et ma Juliette s’y trouvaient encore ou bien si elles avaient fugué pour aller retrouver un de leurs potes dehors. Mais monsieur Mulet me saisit de nouveau le bras et s’écria : — Et attendez ! Ce n’est pas tout ! Je le dévisageai, tourmenté à l’avance par ce qu’il pourrait me montrer de plus. Il me tira cette fois-ci jusqu’à l’arrière du jardin, m’entraîna jusqu’à la haie qui le séparait du sien et me désigna le fond de son terrain en beuglant : — Et là ! Je m’approchai doucement jusqu’à pouvoir apercevoir entre les arbustes un nouveau trio s’ébattant à grands cris : deux exemplaires de moi-même défonçaient avec force l’arrière-train d’une autre Éloïse qui rugissait de bonheur. — Je ne sais pas ce que vous avez encore fabriqué, beugla Mulet, mais vous allez me faire disparaître tout ce bordel, ...