Les autres
Datte: 17/10/2017,
Catégories:
nympho,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
humour,
sf,
... sinon j’appelle les flics ! Je le regardai longuement, probablement d’un air désarmé. Mais avant que je ne puisse répondre, plusieurs sirènes significatives retentirent dans la nuit, d’abord lointaines, mais qui s’intensifiaient rapidement jusqu’à couvrir les gémissements de tous les Gufti Shank du quartier. — Vous n’aurez même pas besoin de les appeler ! fis-je en me mettant à courir jusqu’à chez moi. Restez chez vous et ne tentez rien ! Il me regarda d’un air perplexe rejoindre ma demeure. C’était évident que les flics venaient pour moi. Il fallait que je prévienne rapidement Raoul de ce qui se passait. À toute allure, j’entrai et fermai la porte derrière moi. — Raoul ! hurlai-je. Écoute-moi bien.— Qu’est-ce qu’il y a ? fit-il, sans doute inquiété par le ton de ma voix.— Écoute, Raoul : tu avais raison, il se passe bien des trucs bizarres, et je pense que j’en suis à l’origine.— Quoi ?— Y a les flics qui arrivent, ils vont probablement m’embarquer. Promets-moi de ne rien dire ! Il cligna vaguement des yeux, comme pour s’engager tacitement. — Éloïse et Juliette sont des aliens qui ont simplement pris une apparence humaine.— Hein ??? rugit-il.— Je suis désolé, j’ai pas le temps de tout t’expliquer. Ils ont débarqué hier soir, et euh… comment dire… disons que je leur ai appris à baiser, en gros. Sauf que j’avais pas prévu que toute leur tribu rappliquerait ensuite et se mettrait à baiser partout chez nous.— Mais… commença-t-il. Il n’eut pas le temps d’achever ; les gyrophares ...
... des flics éclairaient la rue et on entendit une dizaine de violents coups de freins ou de dérapages, tandis que les sirènes émettaient une dernière série de hurlements. Raoul était dans le vague et répétait à voix basse, les yeux rivés sur le sol : — J’ai baisé avec une extra-terrestre… j’ai baisé avec une extra-terrestre… Je montai les marches quatre à quatre en lui criant : — Je te laisse t’occuper d’elles, Raoul ! Tu ne dis surtout pas qu’elles sont là. Il m’écoutait attentivement, mais demeurait confus. — Retiens les flics aussi longtemps que tu peux ! ajoutai-je. J’sais pas, dis-leur que je suis aux chiottes et que j’arrive. Je courus jusqu’à ma chambre et y entrai au moment où retentissaient les premiers coups sourds contre ma porte d’entrée. Raoul cria qu’il arrivait. Je me demandais comment les flics avaient réussi à me trouver si vite. En même temps, s’il y avait un exemplaire de moi-même à chaque coin de rue, ils avaient dû rapidement trouver un gus qui savait qui j’étais. Éloïse et Juliette étaient tranquillement allongées sur le lit, en soixante-neuf, occupées à se brouter la chatte. — Ah ! Gufti, vous venez enfin vous joindre…— Silence ! interrompis-je. Les flics sont là et vont probablement m’embarquer. Vous allez rester avec Raoul jusqu’à ce que je revienne, d’accord ? Il est sympa et s’occupera bien de vous, vous verrez.— Oui, mais il est moins performant que vous, parvint à dire Éloïse, toujours dépitée. Ignorant sa remarque, je poursuivis : — Les policiers ...