1. 13, avenue Volvestre


    Datte: 03/11/2020, Catégories: f, fh, fplusag, fagée, profélève, complexe, douche, telnet, amour, cérébral, revede, photofilm, Masturbation intermast, Oral nopéné, jeu, humour,

    ... d’être eux-mêmes, spontanés. Elle en éprouva un petit pincement de jalousie qu’elle tenta vainement de réprimer. Sur l’image suivante la fille était assise sur le capot rouge laqué d’une Cadillac flamboyante, les cuisses largement écartées, et Fred à genoux à ses pieds lui écartait sa petite culotte d’un doigt pour dévoiler une vulve rose, glabre et… maquillée. Diane ne pouvait pas s’empêcher de remarquer tous les détails révélant le professionnalisme du photographe. Elle n’en était pas moins troublée par l’érotisme des compositions. La troisième image était presque un gros plan de la même position, mais le visage de Fred s’était approché de l’entrecuisse de la fille et sa langue dardait sur le petit clitoris saillant. Diane pouvait imaginer les mouvements de la langue sur les muqueuses humides. Elle en ressentit une gêne indicible. Elle se rappela ce jour où, quelque vingt-cinq ans plus tôt, Jean Moret, son unique amour, l’avait renversée sur la table de sa cuisine et avait enfoui sa tête sous sa jupe. Elle avait eu honte. Elle se sentait sale. Elle n’avait pas voulu qu’il lèche sa vulve. Elle lui avait demandé d’arrêter. Il avait arrêté. Elle regrettait. Sur la quatrième photo, la fille était entièrement nue et la combinaison de Fred était ouverte sur le devant jusqu’au sexe. Sa hampe pointait par l’ouverture et la fille se penchait vers le membre en le dévorant déjà des yeux. Diane avait chaud. L’air était moite et sa chemise de nuit lui collait à la peau. Elle avait ...
    ... croisé les jambes spontanément et ne s’était pas rendu compte que les contractions nerveuses de ses cuisses avaient pour effet de presser spasmodiquement les lèvres de son sexe. Elle décroisa les jambes mais ainsi, les cuisses écartées et presque nue dans la lueur blafarde de son écran, elle se trouva encore plus indécente. La cinquième photo était un gros plan sur le visage de la fille, les lèvres distendues par la verge de Fred qui la pénétrait jusqu’à la gorge. Elle fermait les yeux pour mieux savourer le sexe vibrant de son amant. Entre sa lèvre inférieure et le sexe bandé on apercevait la pointe rose de sa langue qui dépassait. Elle semblait se régaler. Diane aurait voulu tout arrêter, mais elle aussi avait l’eau à la bouche et sa respiration était devenue irrégulière. De toute sa vie, elle n’avait jamais osé sucer le sexe d’un homme. Elle avait toujours trouvé ça répugnant et contre nature. Elle avait détesté quand Jean lui avait appuyé sur la tête alors qu’elle couvrait son ventre de baisers légers. Elle s’était même vexée le jour où il lui avait demandé explicitement de lui faire une pipe. Aujourd’hui – était-ce la fatigue ? le stress ? – elle se surprit à crever d’envie d’être à la place de cette jeune pute et de prodiguer à Fred la si servile caresse. Elle posa sa main au-dessus de son genou et la laissa glisser délicatement le long de la face intérieure de sa cuisse. Un délicieux frisson la fit gémir. Elle ferma les yeux un instant et sentit le désir enflammer doucement ...
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