1. 13, avenue Volvestre


    Datte: 03/11/2020, Catégories: f, fh, fplusag, fagée, profélève, complexe, douche, telnet, amour, cérébral, revede, photofilm, Masturbation intermast, Oral nopéné, jeu, humour,

    Au premier regard, Elvira avait compris qu’elle n’essayerait pas de se soustraire à l’étreinte de Marcos si celui-ci décidait de lui sauter dessus – ce qu’il comptait d’ailleurs faire d’un instant à l’autre – mais une sorte de coquetterie instinctive lui ordonnait encore de continuer à l’aguicher de sa démarche la plus féline tout en conservant ses distances. Elle se retourna lentement et se cambra pour offrir nonchalamment sa croupe au regard d’ambre du jouvenceau, se tordant le cou pour ne pas le quitter des yeux. Marcos n’en pouvait plus. Assis au bord du petit muret qui bordait l’arrière-cour, les narines palpitantes, conscient lui aussi de la nécessité de faire languir cette femelle lubrique mais bouillant d’un désir indomptable pour elle, il bavait. Alors, au moment précis où Elvira, feignant l’indifférence, rompit le contact oculaire une fraction de seconde, Marcos bondit du mur pour atterrir exactement derrière le cul offert de sa partenaire d’un soir. Elvira, surprise par la vivacité du vagabond, laissa échapper un long cri de détresse et de peur soudaine. Marcos lui mordit alors violemment la nuque pour l’empêcher de se débattre et il l’attrapa sans douceur par la taille, la griffant jusqu’au sang. Clouée au sol par la puissance insoupçonnée du mâle en rut, Elvira comprit que toute résistance était désormais inutile et accepta docilement le sexe bandé qui força d’un coup les chairs à vif de son vagin. La bite de Marcos, en pénétrant le fourreau de la jeune ...
    ... greffière, en fit refluer une grande variété d’effluves séminaux. L’odorat surdéveloppé de ce monstre hirsute, véritable bête de sexe, l’informa immédiatement qu’il n’était pas le premier à se vider les gonades dans cette chatte ce soir, ni même le deuxième. La minette débordait de foutre tiède. Desserrant un instant les mâchoires, il hurla dans l’oreille de sa proie la pire insulte qu’il connaissait : CHIENNE ! Elvira, toujours bouleversée par ce genre de discours, se cambra un peu plus pour faciliter la pénétration et Marcos entreprit de la baiser à fond, désireux de féconder le plus rapidement possible cette petite bourgeoise d’appartement, au moins autant pour le plaisir de jouir que pour assurer sa descendance. Il n’en eut malheureusement pas le temps. En effet, à peine Elvira avait-elle commencé à miauler son plaisir à la ronde qu’une trombe d’eau démesurée les submergea entièrement, entraînant même leurs deux petits corps sur plusieurs mètres. D’une fenêtre éclairée, une femelle humaine cria quelque chose dans cette langue étrange dont Elvira et Marcos ne comprenaient que quelques mots : — Allez faire ça ailleurs, sacs à puces ! Elvira, terrorisée, griffa Marcos au visage et s’arracha de ses pattes pour se faufiler prestement entre deux planches disjointes de la palissade. En un éclair de poils et de griffes, Marcos bondit de côté et disparut derrière une poubelle sans demander son reste. Tout éberlué, à peine dessaoulé et titubant au milieu de la cour, Edgar Mathieu leva ...
«1234...33»