13, avenue Volvestre
Datte: 03/11/2020,
Catégories:
f,
fh,
fplusag,
fagée,
profélève,
complexe,
douche,
telnet,
amour,
cérébral,
revede,
photofilm,
Masturbation
intermast,
Oral
nopéné,
jeu,
humour,
... faire plus attention. Mais, Diane, je ne peux pas rester très longtemps alors, avant de m’en aller, je voulais vous dire…— Quoi ?— Vous… vous êtes fascinante.— Frédéric, ne vous méprenez pas. Nous sommes des acteurs. Nous simulons. Nous mentons constamment. Mon personnage peut être attiré par le vôtre sans qu’il n’y ait rien entre vous et moi. Faites-moi plaisir : ne l’oubliez jamais.— Loin de moi cette idée. Je voulais juste vous remercier pour tout ce que vous faites pour moi. Vous savez, les filles avec qui je travaille ne vous arrivent pas à la cheville. Elles n’ont rien de votre charisme, de votre stature.— C’est entendu. Rassurez-vous, je trouve très agréable de vous transmettre le peu que je sais. Mais je voudrais juste éviter tout quiproquo. Mon cœur est déjà pris. Sachez-le.— Je crois que je comprends, répondit tristement Fred. Ne vous inquiétez pas. D’ailleurs, je ne voudrais pas abuser de votre temps et je dois me rendre à l’aéroport. Vous savez que j’ai la fâcheuse habitude d’être en retard et je doute que le pilote soit aussi patient que vous. Diane, rassemblant tous ses talents d’actrice pour paraître forte, raccompagna Fred jusqu’à la porte, non sans lui avoir demandé son numéro de téléphone, au cas où elle aurait un empêchement. Il lui tendit sa carte et lui précisa qu’elle pouvait l’appeler à tout moment si elle avait besoin de quelque chose. Dans les yeux d’émeraude du garçon, elle lut l’expression d’une profonde et sincère déception. Ils se firent la bise ...
... sur le palier, puis il descendit lentement l’escalier comme s’il portait toute la misère du monde sur ses épaules. Dès qu’il fut parti, Diane, qui n’en était plus à une effusion lacrymale près, s’effondra sur son lit et pleura jusqu’au soir. Diane était nue sous sa nuisette de soie et de dentelle. Elle s’était allongée sur le dos, les bras et les jambes écartés. Elle avait chaud. Elle transpirait. La soie, en collant à la peau, devenait transparente et soulignait les rondeurs de sa poitrine et de son ventre. Ses tétons étaient durs comme deux petites fraises des bois. Ils étaient si tendus que cela en était douloureux. Sa chemise de nuit était troussée jusqu’au nombril et, entre ses cuisses moites, le buisson de fourrure blonde avait bien du mal à masquer les lèvres enflées de son sexe. Devant elle, Fred était torse nu. Il ne portait qu’un jean moulant sous lequel elle devinait qu’il n’avait pas de slip. Une bosse considérable déformait sa braguette. Enfin, elle était presque sûre que c’était Fred, mais ses yeux avaient changé de couleur. Les iris avaient viré au jaune orangé et les pupilles n’étaient que deux petites fentes verticales. Il se mit à quatre pattes et s’avança lentement vers le corps offert de sa conquête. Avant qu’elle n’eut le temps de réagir, les lèvres de l’homme s’étaient posées sur son mollet chauffé à blanc et il avait attrapé un de ses pieds dont il massait la plante du bout du pouce, en séparant chaque orteil. Le corps de Diane se tendit et s’arc-bouta. ...