13, avenue Volvestre
Datte: 03/11/2020,
Catégories:
f,
fh,
fplusag,
fagée,
profélève,
complexe,
douche,
telnet,
amour,
cérébral,
revede,
photofilm,
Masturbation
intermast,
Oral
nopéné,
jeu,
humour,
... sur son petit trou qui s’ouvrait de lui-même pour la laisser passer. Puis, Fred se coucha sur elle, la mordant férocement dans le cou et il planta ses griffes dans ses flancs, à la naissance des seins. Au moment où le sexe de son amant se posait sur son anus et s’apprêtait à la trouer, Diane poussa un cri déchirant : MIIIIAAAAAAAAAOOOOOOOOOOOOUUUUU ! ! ! ! ! ! ! ! Elle se réveilla en sursaut, pantelante, complètement emmêlée dans sa chemise de nuit et les doigts tout poisseux. Dans la cour, les chats du quartier avaient recommencé leur cirque. Diane, encore incapable de s’extraire des miasmes de son rêve, regarda autour d’elle à la recherche d’un indice qui l’aiderait à comprendre ce qui s’était passé. Elle reprit peu à peu ses esprits, se leva et se dirigea vers la cuisine à la recherche d’une bassine qui saurait calmer les ardeurs affectives de ces maudits félins. Puis elle se ravisa. Après tout, pensa-t-elle, même les chats avaient droit à l’amour. Surtout les chats, en fait. Les jours qui suivirent passèrent comme au ralenti. Diane se rendit à ses cours, à ses répétitions, mais le reste du temps elle ne sortit pratiquement pas de son appartement. Elle gaspilla ses journées à attendre, sans vraiment savoir ce qu’elle attendait. La plupart du temps, elle ne prit même pas la peine de s’habiller. Elle passa des journées entières en robe de chambre. Elle ne se coiffait même plus. Elle avait rebranché son ordinateur et elle se connecta plusieurs fois à la recherche de photos ...
... de Fred. Elle en trouva des centaines, dans les positions les plus obscènes, avec des dizaines de filles différentes. La jalousie la consumait un peu plus à chaque nouvelle trouvaille, mais le plaisir malsain qu’elle prenait à sombrer dans cette spirale de débauche devint en quelques jours une sorte de drogue dont elle ne put plus se passer. Cependant, elle ne se masturba jamais. Passée l’excitation coupable de sa première connexion et la douche froide de pop-up qui en avait résulté, les images suivantes la fascinèrent mais n’éveillèrent en elle aucun désir conscient. Elle se contenta de les passer en revue, comme une collectionneuse, et de les enregistrer implacablement sur son disque dur une par une. D’une certaine façon, Fred faisait son éducation. Elle avait l’impression de rattraper le temps perdu, mais tout en en perdant encore plus, sans vraiment en profiter. Elle découvrit des pratiques qu’elle n’aurait jamais imaginées, qui d’abord la choquèrent, puis l’intriguèrent et qu’elle finit par accepter froidement, comme une enfant qui se force à avaler la soupe censée la faire grandir. En faisant la grimace. Elle pensait qu’il ne reviendrait plus mais, un matin, plus d’une semaine et demie après leur dernière rencontre, Fred Bordier lui téléphona. — Fred ! s’écria-t-elle, folle de joie.— Madame Fargue, j’aimerais vous revoir pour une nouvelle leçon, annonça Fred d’un ton détaché.— Avec plaisir. Quand voulez-vous venir ?— Cet après-midi, c’est possible ?— Bien sûr. Je vous ...