Fanny
Datte: 06/11/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Mes coquineries avec Fanny (deuxième partie)Trois semaines après l’accouchement de ma petite fille, je lui rendis visite, accompagnée de mon mari. A notre arrivée, ce fit Martin, son compagnon, qui nous avait reçu. De suite, nous étions passés à la véranda où, à moitié couchée sur un immense canapé, Fanny était en train de se reposer, le bébé contre sa poitrine. Quelle belle image ! Quelle excitation m’inonda les entrailles !Fanny se réveilla et se redressa pour nous embrasser, en déposant avec infinie douceur, sa fille dans le couffin. Je crois que tous nos regards, en ce moment là, se fixèrent sur un point bien précis : sa blouse. Celle-ci, non seulement elle était transparente mais ouverte impudiquement.- Oups ! Excusez-moi, dit-elle en la boutonnant quelque peu, je venais de lui donner la tétée et on s’était assoupies comme ça.- Il n’y a pas de quoi s’excuser, mon enfant, lui répliqua mon mari… Il n’y a rien au monde plus beau que ça !Je ne savais pas s’il parlait de la maternité et l’allaitement ou simplement de l’opulente poitrine de ma fille. Ou les deux choses. La vérité est que Fanny était rayonnante ; certes, les traits de son visage dénotaient une certaine fatigue, mais, en même temps, le bonheur y était dessiné de tous ses couleurs.Quelque temps après, nous pûmes assister à la suivante tétée. Je m’attendais à la voir se lever, s’excuser et se retirer avec sa fille, dans un coin discret ou dans leur chambre. Au contraire, elle prit la petite, l’accommoda sur son ...
... ventre et sortit une de ses grosses mamelles, ornée d’un téton, gros comme le pis d’une vache laitière, couleur cerise…- La gourmande ! Elle me tète toutes les deux heures ! Il faut dire que j’ai du lait à vendre et à revendre !J’aurais donné un billet de 500 euros pour voir en images les pensées de Joël, mon mari et de Martin. Les miennes, bien qu’enrobes d’une toile de tendresse, étaient, pourtant, bien coquines : je voulais être à la place de ma petite fille !Ce fut, donc, un weekend très curieux. Fanny et Lila campaient dans la maison comme deux êtres indivisibles. Joël, pour sa part, ne perdait pas l’occasion de louer la beauté de ma fille et de zieuter ses extraordinaires nichons. Et, dès qu’il le pouvait, il me cherchait pour que je l’aide à décompresser de tout le stress sexuel que ces visions lui procuraient. Je devrais remercier ma fille car, pendant 48 heures, mon mari n’eut besoin de pilule bleue ! Et Martin ? Son compagnon, il ne savait rien de la relation qui s’était établie entre mère et fille. Nonobstant, il savait qu’on été très proches, que ça nous arrivait de dormir ensemble, mais, sans plus. La dernière fois que Fanny et moi avions fait des cochonneries ensemble (deux semaines avant l’accouchement), il avait fallu découvrir le pot de roses. Et pas à cause de moi, toujours assez discrète au moment de jouir, surtout s’il faut l’être, mais en raison des cris de ma fille pendant que ma langue lui parcourait sa magnifique foufoune, de son clitoris jusqu’à sa ...