1. Fanny


    Datte: 06/11/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... rondelle. Il les avait entendus et cru qu’elle était en train de perdre les eaux ou que les premières contractions frappaient à la porte. Heureusement qu’il nous avait interrogé sans entrer dans la chambre et que Fanny, pouffant de rire lui avait fait croire que tout n’était qu’une fausse alarme.Dimanche soir (nous allions partir le lendemain), j’avais demandé à ma fille si je pouvais dormir avec elle. Préalablement, j’en avais parlé avec Joël qui, malgré l’envie de me sauter une nouvelle fois, comprenait mon besoin maternel. Martin, pour sa part, était content de pouvoir, enfin, pouvoir dormir une nuit entière. Tout le monde d’accord, vers minuit, ma fille et moi nous ne sommes retirées. Joël et Martin sont restés sous la véranda, à discuter et picoler.Une fois dans la chambre, Fanny déposa sa fille dans son couffin. Nous restâmes quelques secondes sans rien faire d’autre que nous regarder. Et puis, elle se déshabilla complètement. C’était vraiment impossible de ne pas regarder sa poitrine. Je n’avais jamais vu des seins si beaux, si lourds et pleins ; si laiteux…D’une peau tellement fine que l’on pouvait apercevoir les veines et toutes ses ramifications. Ses auréoles avaient doublé de diamètre et quelques gouttelettes blanchâtres perlaient le bout de ses tétons. En outre, une touffe de poils recouvrait son pubis. Elle remarqua tout de suite que je l’observais dans le moindre détail :- Comment me trouves-tu, maman ? Je suis moche en ce moment, n’est-ce pas ?- Ne dis pas de ...
    ... bêtises, Fafa… Tu es une déesse !Je m’étais approchée d’elle et la serrai dans mes bras. Elle chercha ma bouche, la trouva offerte et nos langues se mêlèrent dans une symphonie de plaisirs retrouvés. Je lui caressais les cheveux, la nuque, le dos, les fesses…- Maman… c’est encore un peu tôt.- Tôt ? Pourquoi faire, ma fille ?- Tu sais très bien de quoi je te parle…- Oui, je sais… Mais rien ne nous empêche de nous caresser tendrement, non ?Et ce que nous fûmes. Je m’étais déshabillée et couchée à son côté. Je lui caressai le visage, mouillai mon index de salive, le promenai sur ses lèvres. Elle ouvrit sa bouche, me mordilla et lécha mon doigt. Je caressai l’intérieur de sa bouche, comme si je le caressais le vagin. Ensuite, je pris l’huile qu’elle m’avait proposée et je lui étalai sur tout son torse, restant un bon moment sur son ventre mou et puis, sur ses seins, sans lui toucher les mamelons. Fanny se laissait faire, les yeux fermés :- Tu as déjà joui, depuis l’accouchement ?- Oui, maman… Mais pas avec Martin…- En te caressant ?- Non plus…- Alors ?- Presque à chaque tétée… ça me fait presque honte de te le dire…- Mon bébé, moi, c’était pareil…- Oui ? Avec moi, aussi ?- Avec toi, surtout ! Et Martin… il ne te tète pas ?- Je ne le lui ai pas demandé…- Pourquoi ? Ton père il n’avait même pas attendu que je sorte de la maternité !- Et ça te plaisait ?- Oui… Mais il a fallu que je lui apprenne à me téter sans me faire mal…- C’est vrai… On a les tétons ultra-sensibles, hein ?Elle ...