Fanny
Datte: 06/11/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
... prit une de ses mamelles et la pressa de telle façon que plusieurs jets de lait se propulsèrent vers le haut, comme une fontaine lactique :- Tu as envie de me téter, Mam ?- Oh que oui, bébé !Quelques années auparavant, j’avais déjà tété une femme, une collègue du boulot de Didier, mère célibataire et bisexuelle, avec qui on avait partagé de longues soirées de sexe. Mais, là, c’était toute autre chose. Sentir entre mes lèvres, entre mes dents, son mamelon et le lait qui coulait chaudement sur ma langue, produit en moi un effet immédiat : une excitation inouïe ! Fanny me tenait la tête et me caressait les cheveux comme si j’étais son bébé. Elle gémissait, de façon presque imperceptible :- Mord-le un peu, maman…- J’ai peur de te faire mal, mon ange- Vas-y doucement… Je te dirai d’arrêter, si j’ai malEt c’est ce que je fis. J’attrapai son téton entre mes dents, depuis sa base et le mordillai faiblement jusqu’au bout, en tirant vers moi :- Un peu plus fort, s’il te plait…Elle s’incorpora un peu plus jusqu’à rester presque assise, le dos contre la ...
... tête du lit. Elle prit ses deux seins entre ses mains, les serrant de telle façon que ses deux tétons restèrent tous près, l’un de l’autre. Comme une source à deux tuyaux intarissables, je me suis retrouvée avec le visage arrosé de son lait. Des éclats de rire surgirent de ma bouche et Fanny me gronda :- Chut ! Tu vas réveiller la petite !Pendant trois bonnes minutes, je lui suçai, léchai, tétai et mordis ses deux bouts de chair en avalant une bonne partie de son nectar maternel et laissant couler le restant entre mes lèvres… Son orgasme ne tarda pas à arriver. Il fut intense, mais court et silencieux. Très différent à ceux qu’elle avait eu avant son accouchement, surtout lorsque je l’avais fait jouir avec ma petite main enfoncée dans sa chatte.- Merci, mam !Ceci dit, elle s’endormit aussitôt. Elle devait être très fatiguée, la pauvre. Moi, loin d’être frustrée, je humai l’air, cette senteur de maternité jubilatoire, et me blottis contre elle, une main sur la touffe de son pubis…Nous dormîmes jusqu’à que Lila, avec ses pleurs affamés, nous réveilla.