Le lac de Castillon
Datte: 07/11/2020,
Catégories:
f,
Masturbation
Voyeur / Exhib / Nudisme
campagne,
bain,
fh,
intermast,
plage,
init,
pénétratio,
fffh,
... banc. L’odeur du café qui se préparait chatouillait mes narines. Il devait être un peu plus de sept heures. La chaleur commençait à monter sous les toiles, chassant les occupants de leurs duvets. Et chacun de parler, de rire, de crier, de faire du bruit. Isabelle, la délicieuse animatrice, vint se serrer contre moi. Elle se tenait derrière moi, debout, ses bras autour de mon cou. Elle posa sa tête tendrement sur la mienne, petit geste d’affection. — Tu as l’air fatigué. Je sentais ses seins dans mon dos, me troublant un peu malgré ma fatigue. Elle ne portait en tout et pour tout qu’un long Tee-shirt. Mes mains enserrèrent ses jambes, doucement, les caressant. Elles remontèrent derrière ses genoux, ses cuisses, redescendirent sagement. Personne ne faisait attention à nous. Mes mains remontèrent, se glissant sous le long vêtement, le remontant probablement impudiquement pour quelqu’un qui se serrait trouvé derrière elle, s’aventurant sur ses globes délicieux. Mes longs doigts, tournés vers le haut, se posèrent sur ses fesses rondes et fermes, pendant que les pouces, après un instant d’hésitation, à la jointure des cuisses, s’aventurèrent doucement vers son intimité. Je la sentis retenir légèrement son souffle. Isabelle se dégagea en riant. L’instant n’était pas bien choisi, effectivement. Je pris tranquillement mon café, regardant parfois la belle qui allait et venait dans le camp. Dommage. Nous n’étions pas assez nombreux pour pouvoir prendre une journée de congé ensemble. ...
... J’aurais bien eu quelques idées pour l’occuper. Je retournai à la tente et pris quelques affaires et le gros paquet de photos encore humides qu’il me faudrait faire sécher. J’hésitai à les confier à un des animateurs pour qu’il finisse le boulot. Trop de passage. Je passai près d’Isabelle, lui pressant la main doucement : — Je vais aller faire un tour. Trouver un coin sympa pour finir ma nuit.— Ou la commencer plutôt, me fit-elle, malicieusement. Le stade se trouvait à l’écart, à l’entrée de Castellane. Je pris la route, sans but défini. Un lieu attirerait bien mon attention. Bruit de moteur. Un véhicule avançait, allant dans ma direction. Machinalement, je tendis le pouce. Le combi Volkswagen me dépassa et s’arrêta, faisant jouer les warnings. Des allemands, à l’immatriculation. Le couple était souriant. Ils ne parlaient pas français et moi pas allemand. Nous nous entendîmes donc parfaitement. D’un geste, ils me montrèrent l’arrière du véhicule, aménagé pour l’été. Ils avaient construit une sorte de caisson qui leur servait de chambre, laissant au-dessus de celui-ci un vide où je pouvais m’allonger, pour profiter de la route malgré tout et parler avec eux. Quelques mots d’anglais, trop rares chez moi, et ils comprirent que je n’avais pas de destination. Cela parût les amuser. Comment dit-on handicapés en anglais ? Youngs handicapeds. ? Youngs with problems in her body ? Disableds ? Ah, ok ! Youngs disableds. No, no work today ! Long night. I’ll want sleeping off. Je compris ...