Anne s'étonne
Datte: 08/11/2020,
Catégories:
ffh,
couple,
couplus,
Collègues / Travail
pénétratio,
couple+f,
... description. Fais-moi celle de Patrice, s’il te plaît. Anne donne à voix basse une description que Sylvie écoute en regardant attentivement chaque trait de son visage, lui tenant toujours la main. À la fin, Sylvie demande : — Ça te fait quoi qu’il ait bandé pour toi ? Anne se précipite sur le second cocktail pour éviter de répondre. Sylvie l’accompagne et poursuit : — Tu sais, moi ça m’a excitée de recevoir ses textos et ses photos en sachant qu’il bandait.— Quelles photos ?— Regarde, dit Sylvie en sortant son téléphone. Elle lui confie l’appareil, et Anne découvre l’intégralité des envois entre les deux époux. Patrice l’a photographiée à son insu, de plusieurs points de vue. Son cul, ses seins de profil, sa silhouette, ses mollets. En dehors de son visage qui est de loin, il manque peu de chose. En plus des textos qu’ils lui ont déjà lus, elle découvre aussi d’autres commentaires ou questions indiscrètes, sur la taille de ses seins, ses tétons, son sexe, ses goûts sexuels probables, les envies de Patrice : se branler entre ses seins, caresser ses fesses, lui lécher la chatte à genoux, elle sur son fauteuil, la baiser debout contre la porte de son bureau, sur son bureau, lui peloter les seins en se faisant sucer, jouir sur ses fesses. Et pour finir, elle découvre une photo de l’érection de Patrice. Un troisième cocktail arrivé entre-temps est presque avalé d’un trait. — Je veux tout savoir, et j’aime aussi que les autres sachent tout. Tu es blessée par ce que tu viens de ...
... voir ?— Je ne sais plus ; c’est confus. C’est choquant de savoir que, sans qu’on le sache, on a été l’objet de fantasmes, et qu’en plus cela a été dit à une autre ; c’est très troublant.— Tu m’en veux de t’avoir montré ?— Je ne peux pas t’en vouloir d’avoir été honnête.— Est-ce que ça t’a fait quelque chose d’être l’objet de fantasmes de la part de Patrice ? L’alcool aidant, Anne s’entend prononcer des mots qu’elle n’aurait jamais pensé sortir d’elle : — Je dois t’avouer quelque chose… Devant l’hésitation d’Anne, Sylvie l’encourage du regard. — Ce midi, en mangeant, j’ai divagué et j’ai imaginé les lèvres de Patrice et ses mains s’approcher de moi jusqu’à me toucher le genou…— Ça t’a fait quoi ?— J’étais trempée… prononce-t-elle timidement— Moi, je le suis à t’écouter : regarde. Sylvie sort une main de dessous sa jupe et montre un doigt luisant à Anne. — Si tu es pareille, montre-moi s’il te plaît. Le ton de la demande est doux, mais impératif. Anne s’exécute et met sur la table sa main avec un doigt humecté de sa cyprine. Sylvie vient poser le sien dessus et le caresse. Un vibreur interrompt le silence : c’est le téléphone de Sylvie. Elle lit le SMS à Anne. — C’est Patrice, il est rentré préparer à manger pour nous. C’est à deux pas ; tu as besoin de reprendre des forces après ces émotions. Viens.— Mais je dois rentrer ; Éric m’attend.— Donne ton téléphone. Anne obéit, et Sylvie, s’asseyant à côté d’elle, prend une photo qu’elle envoie à Éric avec un message : « Suis avec ma ...