1. Anne s'étonne


    Datte: 08/11/2020, Catégories: ffh, couple, couplus, Collègues / Travail pénétratio, couple+f,

    ... copine Sylvie ; elle a besoin de parler. Ne m’attends pas. » — Voilà, dit Sylvie. Maintenant viens, s’il te plaît. Anne la suit. Quelques rues plus, loin, elles franchissent un portail puis entrent dans un ascenseur. Sylvie s’approche d’elle et lui fait un bisou sur la joue avant de dire : — Merci ! Anne est troublée ; encore plus quand elles entrent dans l’appartement et qu’elle découvre des couverts dressés autour d’une table basse avec Patrice qui les invite à s’asseoir. Tous s’installent et mangent presque en silence, sauf quelques remarques utilitaires du type « Je te ressers ? » Le dessert achevé, Sylvie demande à Anne : — J’aimerais que tu nous prennes en photo ; tu veux bien ?— Euh, oui, répond Anne qui ne sait plus où elle est. Sylvie lui donne son téléphone et se rapproche de Patrice sur le canapé. Anne, à deux mètres, les photographie. Ils s’embrassent, d’abord tendrement, puis plus fougueusement. S’interrompant, Patrice dit : — Rapproche-toi : je veux qu’on voie bien le visage de Sylvie ; il est si beau… Elle obéit, et se trouve désormais à cinquante centimètres d’eux. Elle se concentre sur le visage de la belle brune. Elle accompagne le mouvement de la tête de Sylvie qui descend le long du torse de Patrice, découvrant d’un coup la verge raide sortie de son pantalon. Les lèvres de Sylvie jouent avec le gland épais, puis descendent le long de la hampe en l’épousant. Elles remontent, et par petits coups, avalent la moitié de la queue. Anne réalise qu’elle est en ...
    ... train de prendre en photo la femme de son collègue qui le suce à moins d’un mètre d’elle. Les yeux de Sylvie, grands ouverts, vont du téléphone à ceux d’Anne. Patrice lui demande : — Viens prendre ses fesses maintenant. Elle se déplace et découvre la jupe de Sylvie roulée autour de sa taille. Sans marque de bronzage, les fesses s’offrent aux mains puissantes de Patrice. La chair est caressée, malaxée. Une main disparaît puis réapparaît entre les cuisses qu’elle écarte. Le sexe entrouvert de Sylvie dévoile un rose humide. Des doigts puissants caressent les lèvres intimes, glissent entre elles, puis s’enfoncent. Les hanches de Sylvie se mettent en mouvement et accompagnent la pénétration. L’odeur d’excitation vient jusqu’aux narines d’Anne. D’un coup, Sylvie fait ressortir les doigts inquisiteurs et ordonne à Patrice : — Maintenant, baise-moi comme tu aimerais baiser Anne, mon chéri. Se levant et se déshabillant complètement, Patrice emmène Sylvie vers une pièce au fond d’un couloir en intimant à Anne l’ordre de les suivre. Le téléphone n’a plus de batterie, mais elle le garde en main comme alibi. Dans une pièce qui doit servir de bureau, Patrice plaque Sylvie sur un mur, debout, et venant derrière elle, soulevant la jupe, vient la posséder virilement. Sylvie se laisse faire et Patrice s’active, dévoilant les facettes de sa musculature. Son sexe épais va-et-vient vigoureusement. Ses mains tiennent les hanches et empêchent tout mouvement. Il s’arrête et conduit Sylvie vers le ...
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