1. Repos dominical


    Datte: 09/11/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, chaussures, Oral 69, fsodo, jeu, amourcach, bourge,

    ... travailler sur un dossier important pour lequel je veux être au calme, et quoi de mieux que le dimanche ? Non, non, pas de problème grave, juste un dossier très sensible sur lequel je suis très investie… Non, non, aucune difficulté théorique, mais des techniques à mettre en œuvre qui sont bien nouvelles pour moi. Jérôme sourit à ces propos, eut l’idée de se dégager de sa position allongée, vint se placer derrière Hélène qui continuait la conversation agenouillée sur la table, se colla à son dos, l’enlaça de ses bras. Elle sentit, collée drue à la raie de ses fesses que la verge de Jérôme, comme enchantée par le caractère insolite de la situation nouvellement créée, avait instantanément retrouvé une belle vigueur et une complète et prometteuse rigidité. Consciemment ou pas, Hélène laissait se prolonger cette conversation insolite avec son mari, encore à quelques heures de vol de Paris. Jérôme de son côté continuait gentiment à la caresser de ses doigts. Elle devait être très attentive à bien gérer ses soupirs, qui s’accéléraient, ou mêmes ses premiers feulements, en éloignant le combiné. Jérôme comprenait aussi dans le même temps qu’il lui fallait alors ralentir le rythme pour la laisser reprendre son souffle et ses esprits. Jérôme eut l’idée de griffonner sur un papier qu’il présenta à Hélène deux mots rapides sur lesquels il lui demanda de se positionner : Normal ou sodo ? Elle hésita, choisit le premier et reprit avec son mari une conversation anodine, qui se prolongeait ...
    ... avec l’échange des nouvelles familiales plus banales. Jérôme de son côté se positionna dans l’exact alignement du dos et des fesses d’Hélène et plaça sa bite à l’entrée de son sexe. Il entreprit bien entendu de la pénétrer. Désireux de ménager autant que possible un certain silence, c’est presque sur la pointe des pieds – si l’on peut dire ! – qu’il se glissa au fond d’Hélène. Elle était de son côté obligée de faire preuve d’une énorme habileté pour éloigner le combiné au moment de chacun de ses râles. Vis-à-vis de son mari, qui s’inquiétait malgré tout de temps à autre, elle se voulait rassurante : — Non, non, mon chéri, aucune raison de t’inquiéter, juste une petite toux ; j’espère bien que je vais arriver à éviter cette grippe qui arrive… Jérôme souriait en appréciant l’à-propos et le self-control de sa maîtresse qu’il continuait à joliment besogner par l’arrière, en profondeur et avec régularité. Néanmoins arriva vite un moment où la situation n’aurait pas pu se prolonger trop. Jérôme comprit, parce qu’Hélène abrégeait manifestement la conversation, qu’il recevait l’autorisation tacite d’accélérer le pilonnage. Juste après avoir pris congé de son mari en lui donnant rendez-vous, chez eux, quelques heures plus tard, elle se lâcha dans un premier orgasme qu’elle avait repoussé jusque-là, on ne sait comment. Mais il n’avait de son côté pas tout donné et de nouveau entreprit sa maîtresse avec vigueur et régularité pendant quelques belles minutes, en levrette, jusqu’à la faire ...