1. Repos dominical


    Datte: 09/11/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, chaussures, Oral 69, fsodo, jeu, amourcach, bourge,

    ... serait à la manœuvre, ou en situation d’initiative. Ce dimanche était manifestement son jour à lui, dans son bureau à elle. Il se leva donc lentement sans un mot. Se mit nu, très simplement puisqu’il n’avait que trois effets à enlever. Il lui prit la main, pour l’aider à se relever. Lui enleva, simplement encore, jupe, culotte et chemisier tout en agrémentant ce rapide effeuillage de quelques caresses ciblées et appuyées. — C’est le moment, Hélène, de nous occuper un peu l’un de l’autre, lui dit-il dans un doux sourire mais sur un ton qui ne laissait pas place à la moindre tergiversation. Elle ne comprit pas immédiatement la nature des intentions de Jérôme avant que celui-ci prenne place, allongé sur le dos sur son grand bureau, et qu’il l’invite à monter à son tour sur cette grande table. Aux gestes directifs qu’elle sentit, elle comprit qu’il lui fallait s’installer à califourchon et à l’envers pour le moment, pour, effectivement que chacun soit à sa main pour une activité désormais parfaitement identifiée par elle. Et sans surprise. Allongée sur lui à l’envers et jambes repliées, elle était parfaitement positionnée, à la fois pour pouvoir jouer avec le dard de Jérôme comme elle l’entendrait, que pour sentir, d’un autre côté, si l’on peut dire – et on peut le dire – que son cul et son sexe pourraient être les objets délicieux de toutes les sollicitations de la langue, de la bouche, du nez, des doigts de son habile et imaginatif amant. Pour le moment, alors qu’elle ...
    ... prenait une première fois en bouche un sexe ramolli et encore goûteux de son travail matinal, elle se faisait confiance pour lui redonner une vigueur nouvelle. Elle sentait le visage de Jérôme bien encastré dans ses fesses, il commençait à la besogner. Il avait constaté que l’œillet n’avait pas encore retrouvé ses dimensions habituelles et conservait une ouverture qui traduisait les hommages dont il avait été honoré quelques heures auparavant. Pour être plus direct, le cul d’Hélène ne s’était pas remis de la sodomie matinale. La langue pouvait y être introduite sans difficulté, pour le plus grand bonheur commun. Puis un doigt, puis un autre, qui commencèrent, déjà et très vite à redonner à Hélène, pourtant occupée par ailleurs, une respiration saccadée et bruyante. C’est à ce moment que l’imprévisible se produisit. En ce calme dimanche après-midi, le téléphone de bureau d’Hélène se mit à sonner. Ils furent tous les deux très étonnés de cet incident mais, par un réflexe dont il n’aurait qu’à se féliciter bientôt, il conseilla à Hélène de répondre. Ce qu’elle fit sans tarder, en gardant sa position mais évidemment en lâchant, pour quelques instants pensait-elle, ce qu’elle avait encore en bouche. Jérôme comprit, aux premiers échanges dont il fut témoin, qu’il s’agissait du mari d’Hélène qui lui annonçait son retour à la maison en début de soirée, quelques jours plus tôt que prévu car sa mission était terminée. — Oui, oui, mon chéri, j’ai profité de ton absence pour aller au bureau ...
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