Repos dominical
Datte: 09/11/2020,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
chaussures,
Oral
69,
fsodo,
jeu,
amourcach,
bourge,
... s’appliqua également à contrôler la montée de celui de sa partenaire dont il espérait une explosion concomitante avec la sienne. Lui tenant les jambes bien droites et levées, il eut besoin encore d’une petite quinzaine de coups de boutoir pour atteindre la jouissance synchronisée qui les fit s’effondrer sur la moquette dans un superbe râle commun… Il leur fallut bien entendu de longs moments pour récupérer de leurs derniers ébats. Repus de plaisir, ils restèrent ainsi allongés l’un dans l’autre sur la moquette avant qu’elle reprenne la parole — Le quartier est beaucoup moins vivant que le vôtre le dimanche, et on ne pourra pas se restaurer aussi agréablement qu’hier. Je n’ai pu me faire livrer ce matin que deux pizzas que nous n’aurons qu’à faire réchauffer. Moment d’une autre nature, bien sûr, et beaucoup plus sage. Ils avaient l’un et l’autre remis rapidement, mais sans apprêt, quelques habits. Slip, pantalon et chemise pour lui. Jupe de cuir, et chemisier pour elle, sans soutien-gorge, avec bien sûr les bas et talons, qu’elle avait gardés toute la matinée. Elle jugea plus utile encore et plus prudent d’aller aussi prendre une culotte tant elle avait remarqué qu’en présence de Jérôme il lui était très important de pouvoir anticiper et prévenir certains émois intimes. Négligeant la culotte humide et fripée qui, trop sollicitée dans la matinée, n’était manifestement plus mettable, elle alla chercher dans le tiroir de son bureau celle qu’elle y avait placée à toutes fins ...
... utiles. De bon goût, encore, en fine dentelle noire, que Jérôme voulut absolument l’aider à ajuster. De même qu’il insista aussi – en fait il n’eut pas à le faire trop – pour qu’Hélène ne range pas au fond du tiroir la culotte de ce matin qui avait connu de bien près les divers émois de sa maîtresse et qui en conservait les vestiges odorants. Il aima humer de temps en temps cette culotte, et la lui faire humer, pendant leur petite collation. Hormis ces quelques moments de tendre et impudique complicité, ils parlèrent, légèrement et naturellement, de choses et d’autres, mais, comme l’avait un peu autoritairement décrété Jérôme au début de leur repas, en utilisant volontairement un mot cru qui n’appartenait pas à leur patrimoine culturel commun, ils ne parlèrent pas de baise. L’après-midi était déjà très largement entamée au moment du café, qu’elle alla préparer et servit avec l’élégance racée qui la caractérisait en toutes circonstances. Et en toutes positions, se plut-il à penser. Ils le dégustèrent en silence, assis l’un en face de l’autre, et avec une lenteur qu’ils savourèrent tous les deux. Il semblait acquis, depuis le début de leur relation, sans qu’ils en aient jamais parlé de manière explicite mais à la suite d’une sorte de mode de fonctionnement tacitement admis, qu’en fonction des moments, des jours, des humeurs, des lieux ou des circonstances, ce serait l’un ou l’autre d’entre eux, sans rôle préétabli, sans justification à donner, ou même sans accord à demander, qui ...