1. Souvenirs d'un timide (1ère partie : Christelle)


    Datte: 11/11/2020, Catégories: fh, frousses, couple, extracon, Collègues / Travail gros(ses), grosseins, groscul, école, volupté, revede, Oral pénétratio, fsodo, uro,

    ... cours qui va mettre fin à mon émoi. Mais deux heures plus tard je me retrouve en salle des profs avec elle. Nous faisons plus ample connaissance, et j’apprends que Christelle, comme beaucoup de femmes un peu rondes, a plutôt honte de son corps, elle essaie donc de dissimuler chacune de ses charmantes rondeurs par un vêtement un peu ample ou par un accessoire. Je lui fais part de mon admiration sans bornes de toutes les rondeurs féminines, du fait que pour moi une vraie femme est forcément charnelle, et que je ne supporte pas tous ces top models au physique androgyne, qui sont le reflet de l’homosexualité refoulée ou assumée de tous les créateurs de mode. Mon discours lui plaît et la rassure quelque peu, elle esquisse un sourire des plus charmants et me remercie d’un petit baiser furtif sur la joue. Cela devient à nouveau très chaud pour moi, et une fois de plus c’est la sonnerie qui mettra fin à mon trouble. Nous allons passer l’année scolaire à nous rencontrer régulièrement, à nous apprécier de plus en plus, mais un établissement scolaire n’est pas le lieu le plus propice pour aller plus loin. Nous nous contenterons donc, à l’image de nos collégiens, de contacts furtifs, mais au combien chargés d’érotisme, à chaque occasion. J’aime énormément ces moments où nous nous frottons l’un à l’autre. Christelle semble, elle aussi, rechercher ces trop brefs moments d’émoi, qui électrisent tous nos sens, et nous mettent dans un état second, pourtant ni l’un ni l’autre n’avons eu le ...
    ... courage d’aller plus loin. J’ai l’impression de revivre mon adolescence, ma première fille, ma première fois. L’année scolaire arrive bientôt à son terme et Christelle est mutée, nous allons nous perdre de vue. Il nous reste une petite chance, car traditionnellement le dernier jour de classe du mois de juin les élèves sont libérés à midi et nous organisons un repas amélioré par l’intermédiaire d’un traiteur. C’est le moment que choisit mon principal pour m’envoyer à une réunion au rectorat, je suis le volontaire désigné d’office… Je fais donc mes adieux à Christelle, deux tendres baisers sur les joues, les collègues étant nombreux autour de nous, nous ne voulons pas nous découvrir plus. Je lui promets de faire de mon mieux pour revenir le plus vite possible, pourtant au rectorat la réunion démarre avec du retard, puis s’éternise. Il ne faut pas me demander le sujet de cette réunion, car si j’y étais présent physiquement mon esprit était loin de là. En cette fin juin, les vacances à venir auraient dû mobiliser mes pensées mais non, c’est l’image du visage de Christelle qui danse devant moi. Ses yeux verts, si tendres si expressifs, la finesse de son visage de son grain de peau, son odeur suave, la goutte de transpiration qui perle au ras du cou et qui glisse sur l’arrondi de son sein et va se perdre dans le sillon inter mammaire. J’ai la trique. Un grand bruit de chaises remuées me sort de mes pensées et m’indique que la réunion est terminée. Je rentre très vite au collège, mais ...
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