Souvenirs d'un timide (1ère partie : Christelle)
Datte: 11/11/2020,
Catégories:
fh,
frousses,
couple,
extracon,
Collègues / Travail
gros(ses),
grosseins,
groscul,
école,
volupté,
revede,
Oral
pénétratio,
fsodo,
uro,
... il est déjà dix neuf heures, et au moment où je rentre sur le parking, la voiture de Christelle en sort. Je m’arrête au milieu du passage, descend de voiture très vite et cours jusqu’à celle de Christelle. Elle ouvre sa vitre, je passe la tête pour lui dire au revoir, mais alors que je passe de sa première joue à la seconde je m’arrête sur ses lèvres sensuelles et l’embrasse fougueusement. Un baiser qui a mûri depuis près d’un an, d’abord surprise, elle finit par me rendre mon baiser. Il me semble que ce baiser fut interminable tellement il était attendu et désiré. Pourtant, il nous faut l’interrompre, nous bouchons quelque peu le passage et des collègues veulent partir, nous rangeons donc rapidement nos véhicules sur le parking, et nous courons l’un vers l’autre comme deux amoureux. Pour la première fois je peux la prendre dans mes bras la serrer contre moi, écraser son opulente poitrine contre la mienne, et à nouveau l’embrasser goulûment, comme si ma vie dépendait de ce baiser. Nous commençons à nous caresser, à découvrir le corps de l’autre, mais nous ne pouvons rester au milieu du parking. J’entraîne donc Christelle vers le collège, discrètement nous pénétrons en évitant soigneusement la salle où les collègues terminent leur petite fête, pour nous diriger vers l’infirmerie. Une chance celle-ci est ouverte, nous refermons rapidement la porte derrière nous, et nous nous jetons l’un sur l’autre, et commençons à faire voler nos vêtements. Pour la première fois j’aperçois ...
... directement les seins voluptueux de Christelle. Ils sont vraiment énormes, j’en reste ébahi quelques secondes. — Ils sont trop gros et laids, me dit-elle un peu déçue, prenant mon hésitation pour une reculade.— Mais non, ils sont merveilleux, moelleux à souhait, comme je les aime. C’est parce que j’en ai rarement vu d’aussi impressionnants, ils me fascinent au contraire. Je plonge alors la tête dans cette adorable montagne de seins, je les suce, les embrasse avec fougue, ma langue en explore chaque recoin, je les tête comme un fou, je les malaxent à pleines mains… Pendant quelques instants je suis comme un enfant devant un jouet dont il a rêvé depuis plusieurs mois et qu’il découvre enfin. Christelle est aux anges, trop souvent on s’est moqué de son opulente poitrine, et là elle trouve enfin quelqu’un qui la vénère et l’honore comme il se doit. Sa respiration se fait plus rapide, sa poitrine se gonfle sous mes caresses désordonnées. Ses mamelons et ses tétons sont ultra sensibles, et chaque caresse provoque des gémissements de plus en plus appuyés. Insensiblement mes mains quittent quelques brefs instants cette merveilleuse poitrine pour découvrir le reste du corps de Christelle. Elles découvrent sous la jupe de son tailleur ses larges fesses gainées d’un petit slip de satin, puis poursuivant leur escapade elles caressent tendrement l’intérieur des cuisses, là où la peau est plus fine et plus tendre, pour arriver à son buisson caché derrière le fond de son slip complètement ...