1. Tendre routier


    Datte: 13/11/2020, Catégories: hh, inconnu, poilu(e)s, Collègues / Travail voiture, volupté, intermast, Oral 69, préservati, hdanus, hsodo,

    ... devais les ouvrir et veiller à ce qu’elles restent propres après usage. Je détestais cette partie « femme de ménage » de mon travail bien que je n’eus jamais de désagréables surprises et ce n’était pas très pénible. Nous nous dirigeâmes silencieusement vers les douches. Je sortis mon passe et je lui ouvris l’une des deux cabines dont nous disposions. Il y entra et appuya sur le commutateur. « you have a quarter, 15 minutes » dis-je en mimant le nombre 15 avec mes doigts. La cabine n’était pas très spacieuse. Il y avait deux parties : une partie « vestiaire » et une partie « douche ». Elle sentait un mélange de savon, de parfum bon marché et de produit de nettoyage. Il se tourna vers moi et dit « do you want to come with me ? » Je rougissais jusqu’aux oreilles. Décontenancé, je regardai ma montre. Je n’avais pas beaucoup de temps devant moi, on ne pourrait pas faire grand-chose. Il me caressa le visage de sa main. Cela provoqua une décharge électrique. Sans plus réfléchir, je pénétrai dans la cabine et je refermai la porte. Il se déshabilla rapidement. Il était musclé, hâlé et très poilu. Il avait un peu de bide. Sa queue était déjà dressée. Elle était très épaisse et de taille respectable. « undress you too » me demanda-t-il doucement. Je réagis, mes chaussures volèrent au fond du vestiaire et en un tour de main, je me débarrassai de mon short, de mon slip et de mon tee-shirt. Il m’enlaça et m’embrassa. Sa langue épaisse et chaude était à l’intérieur de ma bouche. Son ...
    ... corps vigoureux m’embrasait les sens. Nos verges se frottaient l’une contre l’autre, nous malaxant les testicules. Nous nous caressions nos corps en s’attardant sur les fesses que nous nous pétrissions mutuellement. Son odeur était un musquée, sa barbe naissante m’irritait un peu. Sa main empoigna mon sexe et il commença à me masturber. Je pris son épais chibre tendu et j’en fis de même. Il imposa une cadence juste suffisante pour me faire trembler de plaisir. Je me baissais à la recherche de ses tétons. Son torse était très poilu. Son parfum de mâle qui s’en dégageait m’enivrait et sa pilosité ne me freinait pas. Je lui stimulai les tétons avec ma langue et je les lui mordillai. Je passai de l’un à l’autre tout en continuant à le masturber. Ses mains voyagèrent entre mes cheveux, ma nuque et mes épaules. J’embrassai son ventre, son nombril puis je me mis à genoux. Je vis son sexe dressé, qui jaillissait d’une jungle noire agréablement parfumée. Ses testicules étaient gros et proéminents. Je le décalottai et son odorant gland violacé apparut. D’une main, je le masturbai tant dis que de l’autre je malaxai ses testicules. Avec mes lèvres, je lui caressai son gros gland, puis ma langue en fit le tour jusqu’au frein. J’ouvris ma bouche et j’enfournai complètement son phallus. Je serrai les lèvres et je fis le sortir lentement. Arrivé au gland, ma langue entra en action. J’avalai à nouveau son sexe complètement et je recommençai mon manège. Il poussa un gémissement à chaque aller et ...
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