1. Tendre routier


    Datte: 13/11/2020, Catégories: hh, inconnu, poilu(e)s, Collègues / Travail voiture, volupté, intermast, Oral 69, préservati, hdanus, hsodo,

    ... retour. Je commençai à aspirer son sexe qui allait et venait de plus en plus rapidement. Il appuya sur ma tête pour que je l’enfourne complètement et plus profondément. J’eus un petit hoquet et il cessa immédiatement. Je parcourais rapidement avec la pointe de la langue tout son sexe m’attardant sur son gland. Je recommençai deux ou trois fois et je repris ma fellation un peu plus rapidement. Il respirait bruyamment. Il me fit me relever et m’embrassa passionnément. Il prit mon sexe en main. Il s’abaissa un peu et me lécha mes tétons qui étaient aussi en érection. Pendant qu’il me masturbait, il les léchouilla et les mordilla provoquant en moi des ondes de plaisir. Puis il s’agenouilla. Il me décalotta et ses lèvres enrobèrent mon gland. Il prit le reste de la verge dans sa main et il commença un va-et-vient. Il suçait divinement et les variations de ses caresses buccales envoyaient des décharges électriques dans le creux de mes reins et dans le reste de mon corps. Je me pinçai les tétons pour accompagner sa fellation. « et tu es où ? qu’est-ce que tu fous ? » C’était la voix de mon collègue qui me rappelait à la réalité. Nous nous arrêtâmes immédiatement. J’entendis les portes battantes des toilettes s’ouvrir et se refermer. Le routier se releva. Il m’embrassa et commença à me masturber rapidement. Je pris son gros chibre et j’en fis de même. Il accéléra et nous branlions au même rythme. Je sentis la jouissance monter immédiatement. Il m’embrassait le cou puis revenait à ...
    ... mes lèvres. Nous tremblions tous les deux. Il eut une secousse et je sentis son sperme couler dans ma main. J’hoquetai et je remplis la sienne. Nous continuâmes à nous embrasser et à nous masturber. Je fis couler l’eau pour me nettoyer de son sperme très épais et collant. Puis, je me rhabillai rapidement. Il me caressa les fesses et me dit « go after work ». Je hochai de la tête et je l’embrassai pour toute réponse. « see you later, at 6 » dis-je tout de même en refermant la porte. J’avais chaud, j’étais en sueur. Je me jetai de l’eau fraîche sur le visage. Je rejoignis mon collègue qui me demanda si j’étais malade. Je le rassurai. J’ai prétexté la fatigue de ce rythme décalé, et la chaleur de la journée qui m’empêchait de dormir. Alors que nous étions en train de laver les pompes, je vis sortir le routier espagnol, tout propre, rasé de près et il alla rejoindre son bahut. Il s’affaira à l’intérieur, et jeta un sac plastique dans la poubelle toute proche. J’avais hâte que la nuit se passe. Mon service terminé, je saluai mon collègue et je me rendis à la cafétéria pour prendre deux cafés. Je me dirigeai vers le bahut en tenant deux gobelets du liquide parfumé et chaud qui allait nous réveiller. Arrivé à son camion, je vis tous les rideaux tirés. Je me débrouillai tant bien que mal pour frapper à la porte du conducteur malgré les gobelets qui menaçaient de verser à tout moment. Je vis sa main écarter le rideau et jeter un œil. La porte s’ouvrit. Il avait le visage gonflé de ...
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