1. Police polissonne (12)


    Datte: 13/11/2020, Catégories: Lesbienne

    ... apprécie et le montre par de légères ondulations du bassin et de doux soupirs. Elle ferme les yeux et s’évade, ce qui reste gravé pour le moment c’est cette nouvelle qu’elle vient d’entendre : Noémie Durant est officiellement morte. Le montage de l’inspecteur, du commissaire et du JAP semble fonctionner parfaitement. Elle se sent forte, elle a réussi cette mise en scène qui lu a valu quelques sueurs froides. Elle sait aussi que ce n’est que le début d’un rude combat avant de mettre la main sur le ‘Boss’.Mais le plus important pour elle, c’est sa mère et son nom qu’elle porte. Il ne lui manque plus que sa carte d’identité mais c’est insignifiant à côté du sentiment qu’elle éprouve et cet hymne qu’elle se répète : « Sonia ... Sonia Wolski ! Maman, je m’appelle Sonia Wolski ! Comme je suis heureuse, Maman ; Maman ... Je t’aime » Cette phrase sera dorénavant son credo qui lui donnera force et courage pour affronter la suite de ce qu’il l’attend. Elle se laisse faire. Elle adore la délicatesse avec laquelle Sophie la caresse. Elle frisonne, mais pas de froid, mais du doux plaisir qu’il l’emporte comme à chaque fois que la douceur est là. Sophie lui chuchote de se retourner. Sur le dos elle apprécie encore les caresses de Sophie, elle frissonne encore ; en ouvrant les yeux, elle découvre le visage de Sophie. Il lui semble différent, plus joli, plus doux, plus sensuel qu’avant ; alors, elle met ça sur le compte de l’accident et des médicaments. Physiquement Sophie l’attire. Elle ...
    ... respire le calme et la douceur, son visage fin, sa bouche sensuelle, son petit nez un peu retroussé, ses yeux d’un bleu électrique contrastent avec le blond de ses cheveux mi-longs. L’échancrure de sa blouse révèle une belle poitrine ferme aux tétons agressifs qui s’impriment sur le tissu blanc. Quand Sophie se penche vers elle, Sonia à la confirmation que l’infirmière ne porte pas de soutien-gorge. Sophie a, en effleurant le nombril de Sonia, infiltré l’intérieure de la vulve devenue humide. Ses doigts jouent un instant avec les grandes puis les petites lèvres devenues impatientes de se faire masser encore un peu. Sonia tend la main vers les cuisses de Sophie. Elles ne se disent rien leurs seuls regards se suffisent à eux même. Elle poursuit son mouvement, atteint les cuisses de l’infirmière, et passe sous la blouse. Ses doigts remontent jusqu’à l’entrejambe de la blonde, elle s’ouvre et Sonia découvre un pubis nu et lisse ; plus bas c’est une vulve humide qui lui est offerte. Elle y glisse ses doigts Trois coups sont frappés à la porte. Vite Sophie jette le drap avec un : « Oups... Zut... ! » Les deux femmes rosissent comme deux gamines prises sur le fait d’une bêtise en cours. L’infirmière attrape le poignet de Sonia et s’affaire sur le cathéter ; Sonia se lèche les doigts, et les deux femmes se regardent et échangent un clin d’œil complice. La porte de la chambre s’ouvre sur le toubib et Marc ; Sophie aide Sonia à enfiler cette sorte de chemise totalement ouverte dans le dos ...
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