Résonance primitive 2
Datte: 14/11/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... me regardant faire, laissant jouer mes doigts sur ses lèvres et sur sa fente. Et je pense à son mec reparti depuis moins de douze heures. - Il t’as baisé ? Ma question la réveille. La bouche ouverte, elle a ce regard de camé qui se sent envahir, et elle se rappelle sous ma queue, qu’elle n’est qu’une salope infidèle. Alors, de ses deux mains, elle écarte ses fesses. Et grisé par l’inconvenance, m’ordonne ; - Encule moi plus fort ! - Alors tourne-toi. C’est au sol que je l’encule plus fort. Je claque son cul, toujours du même côté. Elle crie, gémie, pousse ses fesses à ma rencontre, et supplie ; - Bourre-moi ! Bourre-moi ! Bourre-moi ! Je ne tiendrai jamais la distance, c’est évident. Alors, je me retire de son cul gluant et ce que je vois m’affole. Ce n’est pas du Hamilton, c’est sûr, mais sous l’emprise de mes sens, je trouve cette vision magnifique. Elle est tellement crue, tellement organique. Ses orifices sont ouverts, tous les deux, ouverts et luisant de nos fluides. Sa fesse gauche est rouge de mes coups, et à l’autre bout de cette levrette indécente, je vois ses yeux qui me sondent, et sa perdition sur sa bouche. Je ne ressens aucune pitié, seulement le désir impérieux de la prendre et de jouir en elle. Rajouter mon sperme, comme dernière touche à ce tableau. Son regard réclame encore. - Petite pute ! Ta vraie nature est d’être ouverte aux quatre vents, le cul déformé à grand coup de bite ! Je la fais râler en l’enculant à nouveau jusqu’à la garde, et elle enfonce son ...
... visage dans le coussin du canapé, pendant que je la pistonne de bon cœur. J’ai senti du mépris dans mes propos, bien au-delà de la forme, mais ça décuple mon plaisir. Elle n’est plus qu’un cul pour moi, et c’est mon cul, là, maintenant. Deux fesses pour me tenir, et deux trous pour mon plaisir. Je sors et lui prends la chatte. Elle se bloque et râle. Puis je retourne dans son cul et alterne à ma guise. Quand l’étroitesse de son orifice anal devient fatale, je décompresse un peu dans sa chatte, bien plus lâche. Je fais durer le plaisir sans me préoccuper du sien, et ça la fait jouir. Alors, j’enfonce le clou. J’attrape mon futal et fouille mes poches à la recherche de mon portable. Ce faisant, j’ interromps la cadence, et Laure s’inquiète de son dû. - Qu’est-ce que tu fais ? Implore-t-elle. - T’occupes ! Je vais faire quelques clichés pour ton mec. Enfin, pensais-je, si j’arrive à faire fonctionner ce putain de truc avec mes doigts mouillés. - T’es fou ! Fais pas ça ! - La ferme ! Lui dis-je plus ferme que sec. Je ne prendrai que ton cul, avec ma queue dedans bien sûr. - Non, il va le reconnaitre, c’est évident. - Dans cet état ? Ça m’étonnerait. Lui répondis-je en m’esclaffant. Ton cul n’a plus visage humain. On dirait qu’un tracteur lui est passé dessus avec sa charrue. - De toute façon, tu peux pas lui envoyer sans cramer ton numéro. Ce n’est déjà plus un refus catégorique. L’idée commence à l’exciter, je le sens sur ma queue. - Gentil fille… Je suis sûr qu’il va se branler ...