Fraternité étudiante (5)
Datte: 14/11/2020,
Catégories:
Gay
... celui de Kyle, le numéro de notre chambre. Il suffisait d’allumer l’un des ordinateurs de ladite salle et d’y ouvrir le dossier à mon nom pour y trouver les images de moi qui avaient été prises la veille. Je reçus ma première visite le soir même, d’un troisième année qui frappa, entra, se présenta, se débraguetta et m’ordonna de le sucer sous le regard de Kyle qui ne fut pas convié. La bite était normale et le mec pressé. Je ne fus pour lui qu’un vide-couilles. En moins de dix minutes, il vint au bout giclant à petites doses au fond de ma gorge. Il complimenta Kyle et partit en espérant que je voudrais bien le recroiser un jour. Je pensais en moi-même qu’il pouvait aller se brosser et qu’en dehors d’une soirée partouze où le hasard nous rapprocherait peut-être, il pouvait toujours m’attendre. Presque tous les jours je reçus mon lot de visites. Souvent, le mec venait seul, sans s’annoncer. Il frappait à la porte, se présentait si je ne le connaissais pas, se déloquait en précisant ce qu’il attendait de moi et, la plupart du temps, il m’enculait. Plus rarement, c’était moi l’actif. Quelques-uns, comme le règlement les y autorisaient, venaient accompagnés d’un ou deux bons potes. Il arrivait assez fréquemment que Kyle soit prié de se joindre à nous. Ce qu’il faisait de fort bon gré. Quelques mecs, que je connaissais déjà pour la plupart, prenaient rendez-vous : "Salut, c’est mon tour demain. Tu veux que je passe à quelle heure"? gmpgiict D’autres se présentaient carrément à ...
... poil, sans prévenir, et je dus reconnaître que, bien souvent, surtout après vingt heurs, la plupart des mecs vivaient nus dans leurs piaules et les couloirs. Beaucoup laissaient la porte de leur chambre ouverte. On pouvait les voir, en train de travailler, de se branler, de se baiser. Le matin, personne ne s’habillait pour aller aux douches mais il était rare que l’on baise aux aurores. Les cours commençaient à l’heure et on ne les séchait pas. Je recevais aussi souvent la visite de Jeff, plus qu’à mon goût. Non que je fusse rebuté par son âge car il savait tringler comme personne étant tout aussi attentif à son plaisir qu’à celui de son partenaire. Mais comme il était particulièrement endurant, il restait très longtemps. Et souvent, comme il gueulait ses trips sans discrétion, sa voix attirait d’autres mâles qui venaient alors se joindre à la curée. Jeff dans mes fesses, c’était presque le gang bang assuré. Comme j’étais en libre service quasiment tous les jours, j’avais pris la décision de vivre en jockstrap, un cadeau de Kyle qui m’en avait offert un lot. De sorte que, quelle que fût l’heure de la soirée où l’on venait me troncher, je me trouvais prêt à me mettre à quatre pattes ou à m’allonger sur le lit en écartant mes jambes qui prenaient d’ailleurs une souplesse de plus en plus avérée. Les vendredis soirs et les samedis, c’était free-style. Les types qui le souhaitaient, en dehors des cérémonies obligatoires, se retrouvaient dans la pièce du sous-sol où s’organisaient ...