1. Fraternité étudiante (5)


    Datte: 14/11/2020, Catégories: Gay

    ... souvent des partouzes. On baisait très tard dans la nuit, sans capotes car, comme nous n’étions autorisés qu’à forniquer avec les membres de la fraternité, il n’y avait en principe pas de risques. Pour ceux qui souhaitaient sortir en ville ou aller faire du sport ces soirs là, il n’était pas rare que, rentrant vers minuit ou plus tard, ils croisent dans les couloirs des mecs en train de se défoncer, ou d’autres regagnant leur chambre, la raie des fesses bien graissée, du sperme séché sur l’abdomen ou coagulé dans les poils pubiens ou pendant en perles le long du menton, surtout pour les barbus. D’autres en avait dans les cheveux, dans les plis du nez, sur les orteils. Certains allaient se doucher, d’autres se couchaient directement avec ces signes de virilité, comme autant d’hommages à leur charme, qu’ils gardaient sur eux comme un trophée. Il y avait trois groupes à la Fraternité. Les adeptes du rasage intégral, aucun poil nulle part, sauf peut-être sur la tête, ceux pour l’épilation partielle, couilles, raie du cul et parfois torse et aisselles mais jamais le pubis et, enfin, les adeptes du poil. Je notai chez ces derniers une forte propension à se faire arroser de graisse d’homme et à la laisser longtemps sur leur toison, où ces traces blanchâtres de l’orgasme se figeait avec lenteur, souvent entre les deux seins. Ces soirs de week-end, Certains couples passaient la soirée en amoureux, ce qui nous arrivait parfois à Kyle et à moi. Cependant, ces deux jours étaient ...
    ... aussi réservés aux anciens. Outre ces anciens, il y avait aussi quelques membres qui avaient été introduits dans la Fraternité pour services rendus, tel que Jeff mais aussi un jeune médecin gay qui venait se vider les couilles chez nous contre consultation gratuite. Ces personnes venaient, étaient reçues par les troisièmes années qui étaient de garde à l’accueil pour le week-end (toujours par deux), consultaient le catalogue et, alors, on venait nous chercher ou on les amenait directement à notre piaule à moins qu’ils ne décident de rejoindre le sous-sol si une partouze y était en cours, ce qui arrivait fréquemment. Le deuxième ou troisième week-end après mon arrivée dans la Fraternité, alors que j’étais peinard un samedi soir, après 21 heures, en pyjama pour une fois, dans ma piaule à glander pendant que mon chéri était devant un jeu vidéo, on vint frapper à notre porte. Sebastian, l’un des troisièmes années de garde, qui m’ avait cassé le cul avec un chibre magnifique trois ou quatre soirs plus tôt, vint me dire qu’il y avait des visiteurs et que je serai leur pute pour la soirée. Pour plus de commodité, ils souhaitaient venir dans ma piaule. Je n’avais pas le droit de refuser. On verrait avec les clients si Kyle devait rester. Sebastian s’en fut les chercher. Kyle pouvait rester et on l’inviterait le cas échéant. Les mecs étant assez voyeurs et exhib; on devait laisser notre porte grande-ouverte. Cette configuration permettrait à tous ceux qui passaient dans le couloir de ...