Quand l'espoir et le désespoir se confondent dans le plaisir
Datte: 18/10/2017,
Catégories:
h,
fh,
fhh,
couleurs,
extracon,
cocus,
grossexe,
piscine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
jeu,
... bloquer la progression de Mamadou sur sa droite et s’échappa de mon côté. Je tendis en vain les bras pour la retenir, mais elle dévalait déjà les quelques marches pour atteindre la pelouse. — Alors le commando spécial, la première attaque a lamentablement échoué ? C’était un peu couru d’avance avec votre tactique. Il va falloir être plus futé ! Elle déambulait tranquillement nous narguant intentionnellement, profitant de notre handicap physique pour attiser nos sens en toute tranquillité. Elle se plantait provocatrice face à nous les jambes écartées, les mains sur les hanches ou, style petite-fille candide, elle se penchait délibérément, faisant saillir son cul rond et agressif sous prétexte d’observer les papillons qui butinaient dans les parterres de fleurs avant de glisser vers la haie de framboisiers, de cueillir des fruits mûrs et de lentement, un à un, les déposer entre ses lèvres entre ouvertes et de les déguster. Se croyant invincible elle revint sur ces pas, marcha dans notre direction et passa tranquillement entre nous en annonçant sur un ton ingénu : — Oh … j’ai même le temps de me reposer un petit peu, ce n’est pas avec des chasseurs si inefficaces que mon intégrité sera en danger ! Elle remonta sur la terrasse, récupéra les coussins molletonnés des chaises longues, les disposa, telle une gigantesque couche sur le sol et s’y allongea paresseusement sur le ventre en fermant les yeux … mais en ouvrant bien entendu naturellement ses jambes ! La situation était ...
... insolite et cocasse. Nous étions dans notre jardin clos et à l’abri de regards curieux, et nous jouions tels des enfants dans la cour de récréation à une version basique d’« attrape-moi ! », sauf que la partie n’était pas aussi anodine qu’à l’école élémentaire. Nous étions tous nus, Mamadou et moi bandions depuis plus d’une heure à faire exploser nos queues tant la montée graduelle du désir atteignait son paroxysme, et l’objet de nos envies pressantes n’était autre que mon épouse adorée, couchée également dévêtue, les cuisses écartées, la chatte en feu dégoulinante de miel, qui nous avait allumé depuis le coup de sonnette et n’attendait, comme nous, qu’une chose : de se faire baiser ! Je chuchotai à mon compère — Elle tente le diable là, dans cette position elle ne nous voit pas, donc on peut un petit peu tricher, mais surtout il ne faut absolument pas faire de bruit : moi je vais ramper tout droit sur la terrasse et je lui bloquerais les jambes et vous vous allez faire le grand tour en passant par la piscine et remonterez de l’autre côté pour la contrer si elle réplique et arrive à s’échapper ! Ok ?— Ça marche ! Je me glissai donc silencieusement sur le bois et attendis, prêt à lui saisir les pieds pour l’empêcher de se relever, que Mamadou exécute mon plan et se positionne face à elle au niveau de son visage. Quand il fut en place, j’empoignai fermement ses mollets. Comme prévu elle se débattit, se mettant sur les genoux et redressant son torse. Mais là surprise : elle découvrit ...