Quand l'espoir et le désespoir se confondent dans le plaisir - Histoires de Sexe

Quand l'espoir et le désespoir se confondent dans le plaisir

... les cuisses musclées de son beau black, les adducteurs saillants, les quadriceps allongés, puis plus haut les abdominaux s’étageant en tablettes, et surtout érigé au centre de ces démonstrations de puissance, un pieu d’ébène tendu tel un totem africain, semblant la dévisager de sa magnificence. — Oh mon chéri, aide-moi, il y a une bête monstrueuse toute noire qui m’observe avec son œil de cyclope, elle me fait peur … délivre-moi et je ferai tout ce que tu voudras, me susurra-t-elle de sa petite voix ingénue.— Mais mon amour il ne faut pas avoir peur, elle est peut être au contraire toute gentille, essaye de l’amadouer … tu verras bien ! tout en me collant contre son dos dans la même position qu’elle.— Tu crois ? Mais je n’ose pas !— Mais si, sois courageuse, (je me frottais contre ses fesses laissant mon sexe dur coulisser dans la raie de ses fesses pendant que mes mains libres caressaient ses petits seins) tu sais je crois qu’elle ressemble à la bête que tu sens là derrière toi, sauf la couleur bien entendu !— Ah, tu as sûrement raison … mais elle est quand même plus grosse et je ne sais pas si son maître est d’accord pour que je joue avec elle !— Hum, tu aimerais donc jouer avec elle ?— Ben … oui … je pense que ça pourrait être agréable en plus ! Abandonnant sa poitrine mes doigts glissèrent plus bas, lissant les poils rebelles de sa toison clairsemée taillée en fin ticket, puis s’accrochèrent autour de son bouton gonflé avant de déraper sur sa fente mouillée et de ...

... gentiment en masser l’entrée. Je lui chuchotais à l’oreille : — T’es quand même une belle salope ma chérie, tu dégoulines comme pas possible, je suis sûr que tu as trop envie de sa belle bite … tu sais, je t’aime, puis m’adressant à Mamadou je lui demandais :— Alors qu’en pensez-vous ? Elle a le droit de s’amuser avec votre jouet ?— Bien entendu, il sert à ça, à récompenser les épouses gentilles, ouvertes, conciliantes, méritantes, expertes et gourmandes de sucreries ou d’éclairs vanille chocolat, bref les femmes comme toi Céline, vas y essaye, touche le un petit peu … tu vas voir.— Hum … dans épouses tu as oublié « sages et fidèles », car c’est tout à fait moi !, lui répondit-elle en levant son regard vers le sien pour y lire leurs désirs respectifs et en avançant sa main pour saisir délicatement l’objet toutes ses convoitises.— Très bien comme çà, c’est parfait, tu sens comme il frétille d’aise, hum … il durcit encore, oui vas-y, caresse le un peu plus fort, alors il te plaît ton nouveau jouet ?— Oui ! Je l’adore déjà, on dirait un gros bâton de réglisse et je raffole de la réglisse, puis tournant son visage angélique vers moi, elle ajouta : mets-moi tes doigts mon chéri !— Ben si tu aimes tellement la réglisse ne te gêne pas pour goûter, au contraire, tu vois, tu lèches d’abord le bâton avec ta langue de bas en haut.— Comme ça ?— Oui c’est parfait, puis tu mets ta belle bouche en cœur pour happer le bout, et après tu le suces bien à fond comme si c’était un sucre d’orge ! ...