Quand l'espoir et le désespoir se confondent dans le plaisir
Datte: 18/10/2017,
Catégories:
h,
fh,
fhh,
couleurs,
extracon,
cocus,
grossexe,
piscine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
jeu,
... L’attitude de ma femme, d’un côté ingénue et joueuse dans ses dialogues avec Mamadou et de l’autre abrupte et crue dans ceux avec moi, m’excitait énormément. Cette liberté d’expression avait toujours été un stimulant pendant nos ébats et sa conjonction ce soir à une naïveté de composition, me rendait littéralement et irrationnel et fou de désir. J’avais envie de sentir plus intimement le plaisir qui se répandait dans son ventre, de le boire à la source, de l’intensifier encore, de lui faire savoir que je l’acceptais par amour. Je m’allongeai alors sur le dos et rampai pour me positionner entre ses cuisses. Elle déplaça ses genoux pour me faciliter le passage, puis lentement son corps s’affaissa sur mon visage. Nos bouches s’ouvrirent simultanément en parfaite communion : la sienne pour engloutir la friandise chocolat qui la faisait saliver depuis une semaine, la mienne pour déguster sa fente ruisselante. J’ouvris les yeux pour graver cette vision dans ma mémoire. Son bassin ondulait gracieusement sur moi, semblant vouloir se visser à ma langue, me faisant pratiquement suffoquer, ses petits seins aux tétons durs et tendus se soulevaient, dansant au rythme saccadé de sa respiration, ses doigts exploraient frénétiquement les fessiers noirs saillants, revenaient effleurer les lourdes bourses, les griffaient tendrement, puis s’amusaient à étreindre la hampe majestueuse, et ses joues se déformaient par moment sous le joug de la queue qu’elle pompait sans retenue avec une avidité ...
... débordante. J’envoyai ma main gauche aiguiser délicatement son petit œillet et ma droite masturber mon sexe. Son miel odorant dégoulinait de ses chairs de braise, elle se donnait totalement, comme je ne l’avais encore jamais vue se donner, avec une liberté absolue ! De temps en temps, elle se soulevait légèrement pour se positionner différemment sur ma bouche. Je profitais alors de ces instants pour reprendre mon souffle et l’encourager à se livrer sans tabous, à chercher le paroxysme du plaisir et à décupler son envie : — Oh ma chérie, mais je vois d’en bas qu’il te remplit bien la gorge avec son éclair au chocolat, tu as l’air d’en raffoler petite gourmande … et mince il te le met presque entièrement dedans, hum imagine qu’après il va sûrement te le mettre autre part. Je savais qu’une fois l’action largement engagée elle basculait dans un état second où elle oubliait toute inhibition et que ces paroles crues, loin de la choquer, l’excitaient davantage. — Oh… tu sais bien que j’aime ça sucer des queues !— Hum, et particulièrement quand elles sont grosses.— Oui, grosse comme celle que j’ai je pompe là et comme la tienne.— J’aime quand tu es comme çà ma chérie. L’attente devenait de plus en plus difficile pour Céline. Elle voulait impérativement jouir. Elle nous implora : — J’ai trop envie, je n’en peux plus, baisez-moi maintenant ! Elle glissa sa main sous le matelas, tâtonna quelques secondes et extirpa un petit sachet. Je compris qu’elle souhaitait que ce soit Mamadou qui la ...