Quand l'espoir et le désespoir se confondent dans le plaisir
Datte: 18/10/2017,
Catégories:
h,
fh,
fhh,
couleurs,
extracon,
cocus,
grossexe,
piscine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
jeu,
... deux bises très sages sur la joue, sûrement pour ne pas me choquer tout de suite. Il en profita quand même pour laisser délicatement sa main effleurer le bas de son dos puis glisser vers le rebondi de ses fesses. Puis Céline se retourna en disant : — Suis-moi, je vais te présenter mon mari. Ils traversèrent le corridor, elle marchant devant, laissant délicieusement onduler sa croupe, puis émergèrent sur la terrasse. Il cligna des yeux mettant quelques instants à s’habituer à la luminosité plus forte. Nos regards se croisèrent. Il était tel que Céline me l’avait effectivement décrit avec tant de détails. — Mon amour, je te présente Mamadou, un des amis dont je t’ai déjà parlé que j’ai rencontré au Centaure, Mamadou, Philippe, mon mari. Tous les mots de sa phrase d’introduction résonnaient dans ma tête. Je les analysai un par un, car j’étais certain qu’elle les avait préparés et pesés soigneusement avant de les prononcer. L’interprétation que je leur donnais me rassurait. Céline avait fixé les rôles de chacun : moi le mari qu’elle aimait d’amour, lui l’amant avec qui elle avait partouzé il y a une semaine et qui était invité à la baiser à nouveau parce qu’elle aimait trop se faire défoncer par sa belle queue. Je lui serrai la main. Mamadou s’installa en face de moi. Ma femme papillonnait autour de la table, nous détaillant tous les petits plats, s’assurant que notre invité ne manquait de rien, remplissant nos verres. Elle semblait beaucoup s’amuser, se penchant par moment ...
... sous le prétexte de ramasser une serviette tombée sur le sol, faisant dans ce mouvement remonter le revers et légèrement s’entrouvrir la fente de sa robe, ou se tournant vers moi pour laisser l’ourlet de son décolleté bailler un petit peu. Mamadou pouvait alors contempler et surtout deviner le sein libre et son téton tendu ou l’intérieur de ses cuisses, là où la peau est la plus douce, et encore la ficelle noire du string tranchant sur ses fesses blanches. La conversation était agréable. Céline était assise à côté de moi. Quand elle croisait ou décroisait lentement ses fines jambes, elle fixait notre hôte avec un sourire espiègle, comme pour l’avertir qu’elle allait lui offrir la possibilité, pendant une fraction de seconde, d’admirer le camélia rouge qui ornait son string. Mamadou nous parlait de ses études, de ses objectifs professionnels et aussi de son enfance au Sénégal, des coutumes de son pays, des problèmes politiques et économiques auxquels il était confronté. Le temps passait. Pour peu, un observateur externe aurait pu conclure à une bande de trois amis contents de se retrouver après une longue absence. La fin de repas approchait et nous sentions tous que le moment où tout pouvait basculer se rapprochait inexorablement. — Philippe, tu m’aides à débarrasser ? Mamadou nous proposa un coup de main, mais Céline s’y opposa : — C’est gentil, mais tu es notre invité. Elle se leva et je la rejoignis les bras chargés de plats dans la cuisine.— Alors ? me demanda-t-elle avec ...