Quand l'espoir et le désespoir se confondent dans le plaisir
Datte: 18/10/2017,
Catégories:
h,
fh,
fhh,
couleurs,
extracon,
cocus,
grossexe,
piscine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
jeu,
... empressement, tu le trouves comment ?— Sympa …, tout en posant la vaisselle dans l’évier.— Et physiquement ?— Je ne sais pas, je suis un homme, mais c’est vrai qu’il est plutôt bien foutu !— Oh oui … tu sais il me donne envie depuis qu’il est arrivé, regarde, touche ! en se collant langoureusement à mon corps et en prenant ma main pour la glisser sous sa robe.— Hum, en effet … tu es déjà toute mouillée ma chérie.— Oh, mais toi aussi tu bandes déjà mon salaud ! en lançant ses doigts à la rencontre de la bosse qui déformait mon pantalon de toile. Elle m’embrassait à pleine bouche, goulûment, guerroyant avec ma langue, tout en massant doucement dans le creux de sa paume ma queue tendue. — Mets-moi un doigt s’il te plaît, j’ai trop envie, me chuchota-t-elle amoureusement à l’oreille, puis plus coquinement :— Dis-toi que bientôt ce sera les siens, puis sa langue et son gros gourdin sombre qui remplaceront le tien dans ma chatte ! Ses paroles m’excitèrent et elle le sentit. Elle remarqua : — Oh, mais on dirait que ça te plaît de penser que ta chère petite femme va se faire baiser devant toi par un autre homme, qu’elle va lui pomper la queue, puis qu’elle va gémir en l’implorant de lui bourrer la chatte bien profondément ! Soudainement Céline se dégagea, puis remettant un peu d’ordre dans sa tenue, elle me murmura : — Coquin… la suite ce sera pour après, viens sinon il va se poser des questions si on le laisse seul trop longtemps ! Je lui souris : — Ma chérie, on n’oublie pas ...
... quelque chose ? Le dessert et le café ! Céline s’empara de l’assortiment de pâtisseries, éclairs à la vanille et au chocolat et tartelettes aux fruits exotiques et disparut pendant que je préparais des expressos bien tassés. Je les rejoignis cinq minutes plus tard. Le soleil commençait à décliner, irradiant le ciel de teintes plus chaudes, renforçant les contrastes des couleurs et leurs jeux de lumière. Ma femme s’était allongée sur un transat. Ses escarpins traînaient sur la terrasse. Elle avait relevé le dossier à la verticale pour s’y appuyer et replier ses jambes, ses genoux touchant pratiquement son buste. Ce n’est qu’en la contournant et en me baissant pour déposer les tasses que l’indécence de sa nouvelle position me frappa. Sa robe avait glissé le long de ses cuisses dévoilant les courbes de ses hanches et quand elle balançait légèrement ses genoux, les ouvrant de temps en temps comme un compas, elle offrait une vision idyllique et pratiquement dégagée sur ses dessous. Les pétales rouges du camélia, sur lesquels le revers de la robe jetait une légère ombre, tiraient vers le violet et le noir de son string tranchait agréablement avec la clarté de sa peau. On pouvait même deviner le relief de ses lèvres intimes que le minuscule triangle renversé de tissu moulait à la perfection, les laissant vers le bas, là où la pointe rencontre la ficelle, se mettre pratiquement à nu. Je l’interrogeai du regard. Elle me sourit tendrement. Celui de Mamadou semblait happé par le tableau que ...