Explorations
Datte: 16/11/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
Inceste / Tabou
vacances,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
intermast,
jeu,
init,
journal,
Trois jours se sont passés, où Martine a dû s’absenter et où il a fallu aider aux foins. Nous n’avons pas eu l’occasion de nous voir. Le soir de son retour, fête au village. Bon prétexte pour nous échapper. — On va faire un tour à la fête, maman !— D’accord. André, veille bien sur ta cousine et ne rentrez pas trop tard !— Sois tranquille ! Nous quittons en fait bientôt le chemin du village, pour prendre un sentier qui monte sur la colline. On marche tranquillement. Martine porte une petite robe d’été très craquante. Nous nous arrêtons dans un coin bien calme au-dessus du village. Une petite plage herbeuse au milieu des buissons et des rochers qui affleurent. La nuit est encore tiède, il ne fait pas tout à fait noir. On s’assied tous les deux sur un rocher. — Alors, c’était bien, ton stage ?— Super, vachement intéressant— Et les gens, sympas ?— Oui. Oh dis donc, il y en a un qui m’a dragué ! Il était beau, en plus ! Je crois bien que si j’avais voulu, je ne l’aurais plus.— Quoi donc ?— Mon pucelage, tiens !— Dis donc, t’avais l’air bien partie pour le perdre, l’autre jour. Pourquoi tu n’as pas marché avec ce garçon ?— Parce que, je dois être romantique, mais je le garde pour l’homme de ma vie. Mais pourquoi tu dis que j’étais bien décidé à le perdre ?— Attends ! Quand on se fait déshabiller par un garçon, c’est bien une invitation, non ?— Bien sûr, vous ne pensez qu’à ça.— Tu voulais que je pense à quoi ? Je ne t’avais rien demandé, moi ! Et toi, qu’est-ce que tu ...
... voulais, au juste ?— En fait, je ne sais pas trop. Peut-être que je voulais voir si j’étais capable de faire de l’effet à un homme.— De l’effet ? Tu y mets le feu, oui ! Et après, dans la grange, qu’est-ce qui se serait passé ? Comme ton frère avec la fille ?— Non, ça non, ce n’est pas ce que je voulais. Je te dis : je ne sais pas ce que je voulais. En fait, je crois que je voulais voir ce qui se passerait. La nuit est complètement tombée, il fait très noir. Nous regardons les étoiles. — On se déglingue le cou, à lever la tête comme ça, dit Martine en s’étendant. Couche-toi par terre, tu verras, on est mieux. Je me couche à côté d’elle. On regarde le ciel. C’est presque dommage qu’on entende en bas les bruits de la fête, la musique du bal. — Dis donc, demande-t-elle dans un souffle.— Oui ?— Heu… Tu te machines, de temps en temps ?— Comment ça ?— Bien je veux dire… Ton machin, là, tu t’amuses avec, comme l’autre jour dans la grange ?— Je ne vois pas ce que tu veux dire.— Arrête, ne fais pas l’idiot. D’ailleurs, il paraît que tous les garçons le font.— Eh bien, disons que je suis comme les autres garçons.— Et comment tu fais ?— Comme tous le monde, je pense. Tu as bien vu ! Tu es un peu casse-pieds avec tes questions !— Oui, mais là, j’étais avec toi. Quand tu es tout seul, tu fais comment ? Explique-moi. Ou alors, montre-moi !— Ça va pas, non ? Tu ne serais pas un peu vicieuse par hasard ?— Non, je t’assure, ce n’est pas du vice. Mais, à moi, on n’a jamais rien expliqué. Alors, ...