1. Explorations


    Datte: 16/11/2020, Catégories: fh, jeunes, Inceste / Tabou vacances, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, intermast, jeu, init, journal,

    ... Martine me repousse en serrant les cuisses. — Viens sur moi, demande-t-elle dans un souffle. J’essaye à nouveau d’entrouvrir ses cuisses avec mon genou. — Arrête, tu me fais mal ! Viens sur moi. Je m’allonge sur elle, soulageant le poids de mon corps avec mes genoux et mes coudes pour ne pas l’étouffer. Je sens le contact de ses seins écrasés contre mon torse, mon sexe serré entre nos deux ventres. Elle accentue le contact en me prenant les fesses. Elle insinue sa main entre nous, prend ma verge, elle a mon gland dans sa paume, elle me fait mal, elle fait quelques mouvements de son bassin et de sa main, et me fait exploser. Je me relâche, le visage dans le creux de son cou. On se sépare. Elle découvre le sperme sur nos ventres, dans sa main. Je m’agenouille à nouveau à côté d’elle. Elle me regarde, sourit : — Peut mieux faire, dit-elle simplement. Nous nous rhabillons. Lorsque je lui tends son slip, un mignon mini slip, rien à voir avec la culotte petit bateau de la grange : — Cadeau, me dit-elle. Garde-le en souvenir. Peut-être le premier d’une collection, pensai-je… Quelques minutes après, nous sommes rentrés à la maison, Martine, l’air innocent, le derrière à l’air dans sa petite robe d’été et moi avec son slip dans ...
    ... ma poche. — Alors, c’était bien ? demande ma tante.— Pas mal… Oh, tu sais, ce n’est jamais qu’une fête de village…— Allez vous coucher, maintenant. Ah, Martine, n’oublie pas : je pars demain matin très tôt à Bordeaux et je ne reviendrai qu’en fin d’après-midi. Ton père ne rentrera pas à midi non plus, il mange avec les ouvriers chez le vigneron. Vous vous débrouillerez bien pour le repas.— Ne t’en fais pas, maman, on se débrouillera très bien. Bonne nuit, maman.— Bonne nuit, ma tante. Au pied de l’escalier, je lui cède, et pour cause, galamment le passage. Elle monte d’un pas décidé, en tortillant le derrière juste ce qu’il faut pour que sa robe volette un peu. Arrivée à son étage, elle se tourne vers moi, et me dit à l’oreille : — Ce coup-là, tu te finis tout seul, et moi aussi. Pense à moi en le faisant, je penserai à toi aussi. N’oublie pas, ajoute-t-elle, en les montrant : les seins, le ventre, les fesses, l’intérieur des cuisses et le petit bouton magique… Elle me lance un petit baiser mutin sur la joue et, ramassant sa robe autour de sa taille, me tourne le dos et s’en va vers sa chambre, d’un pas décidé, en chantonnant et en balançant son derrière. Je monte à mon tour dans ma chambre et exécute le programme prévu. 
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