1. Explorations


    Datte: 16/11/2020, Catégories: fh, jeunes, Inceste / Tabou vacances, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, intermast, jeu, init, journal,

    ... doucement, pose la main sur sa jambe. Elle ne bouge pas. Ma main remonte alors jusqu’au genou, puis sous la robe et je caresse cette cuisse, jusqu’à rencontrer la hanche et l’élastique de sa culotte. Je redescends un peu, passe devant, puis vers l’intérieur, bute sur ses cuisses serrées. Elle écarte un tout petit peu, juste pour laisser passer le tranchant de ma main, qui remonte. Je suis surpris par la douceur de la peau à cet endroit, et m’en imprègne un moment. Puis, tremblant un peu, je remonte encore jusqu’à l’entrejambe. Le contact avec la culotte m’électrise. J’imprime une légère pression à travers l’étoffe. Martine ne bouge pas. Je caresse, un peu nerveusement. Martine me stoppe en resserrant les jambes. Je dégage ma main et remonte jusqu’au ventre, que je caresse, pour redescendre ensuite, m’insinuant dans le sous-vêtement. Mes doigts rencontrent sa toison. Je découvre ce contact nouveau, inespéré il y a quelques jours encore. Je joue en peu. Et puis j’essaye de descendre un peu plus bas et je perçois, à bout de doigt, le haut de sa fente, mais ne peux aller plus avant. Je retire ma main et refais une tentative en passant par le haut de la cuisse. Je peux ainsi atteindre… Martine proteste. — Ma culotte ! Tu vas toute l’abîmer comme ça… Enlève-la moi. Je m’agenouille et déjà elle soulève les fesses pour m’aider : je fais glisser le vêtement sur ses hanches, ses cuisses, ses jambes, dégage un pied après l’autre. Martine s’asseoit un court instant, fait voler sa robe ...
    ... par-dessus sa tête et se recouche, une jambe étendue, l’autre complètement repliée et écartée. Sans réfléchir plus, je me lève, me débarrasse à mon tour de tous mes vêtements. Je suis presque surpris moi-même par l’ampleur de mon érection. La lumière de la lune est plus présente maintenant et je distingue le blanc de ses seins et de son ventre. Je m’agenouille à nouveau auprès d’elle. Son sexe est resté dans la pénombre, je le vois à peine. Je reprends une caresse prudente. Ce contact tout chaud, un peu humide, renforce encore mon émotion. Je suis surpris par la douceur des toutes mignonnes nymphettes, qui dépassent un peu de ses lèvres. Et je descends encore, jusqu’à la fin de la fente et, sans m’y attendre, arrive au bord de son petit trou. Martine a eu comme un petit sursaut, mais n’a pas bougé. La peau y est si douce que je m’y attarde un peu. Je remonte. Elle écarte maintenant largement les deux cuisses. C’est beaucoup d’émotion pour mon sexe tout novice. J’ai l’impression que s’il effleure la cuisse de Martine, il va exploser… La vulve est maintenant bien ouverte, toute mouillée et, tout en haut, s’insinuant dans la fente offerte, mon doigt découvre une sorte de petit capuchon et, bien caché au-dessous, un petit bouton. Je le caresse du bout du doigt, le quitte, esquisse une caresse à l’entrée du vagin. Mon doigt glisse maintenant avec facilité, et je remonte vers le petit bouton et je le caresse, tout doucement d’abord et bientôt nerveusement et, soudain, brutalement, ...