1. La rousse


    Datte: 17/11/2020, Catégories: fh, frousses, fdomine, hdomine, Oral attache, voisins, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... automatique toutes les cinq secondes. — Mouais, pas terrible, hein !— J’ai eu du mal à vous prendre… je veux dire à faire des clichés corrects. C’est un objectif qui doit être placé sur un trépied. Le moindre mouvement et c’est le flou assuré. D’autre part, les rambardes des balcons étaient dans mon chemin. Puis, elle tombe sur « la » photo. Celle en bikini sur le balcon. Elle est magnifique. — Mmmmm. Je suis plutôt à mon avantage sur celle-là.— Oui, j’ai eu beaucoup de chance.— Et dis-moi, n’est-ce pas mon téton qu’on aperçoit ?— Hein ? Non, non… Oh, nooooon, ce doit être une ombre, ou quelque chose comme ça.— Mouais… Tu t’intéresses tant que ça à moi ?— Ben, disons que vous êtes plutôt pas mal.— Tu peux me tutoyer, tu sais. Elle sourit et continue : — Et puis… est-ce que tu aurais quelque chose à boire ?— Merde ! Pardon. J’ai du vin blanc au frigo, je dois avoir de la vodka, du gin et du jus d’orange. Du whisky aussi.— Va pour le vin blanc. Je vais le chercher. Où sont les verres ?— Dans le haut de cette armoire. Avec beaucoup de légèreté, elle se déplace dans la salle à manger puis dans la cuisine. Je ne sais pas trop quoi penser de tout ça. Une femme-flic débarque chez moi. Elle a pris ses renseignements. Moi, je ne sais rien d’elle. Je n’ai pas trop le temps de gamberger, car elle revient avec deux verres bien remplis. Elle m’en tend un et fait « tchin-tchin ». Elle s’installe à la table, à côté de moi, et nous buvons quelques gorgées. Elle ne m’a pas quitté des yeux. ...
    ... — Il y a d’autres photos, non ? Celles de ce matin.— Ah, oui. Je les ai rangées ailleurs. Je change de répertoire et je lui montre les prises du jour. — Oooh, elles sont pas mal celles-là ! Je savais que tu avais un appareil. Où est-il d’ailleurs ? Je lui montre mon installation, le miroir y compris. — Dis-moi, qu’est-ce que ça t’apporte d’espionner les gens ?— Hé, non hein… j’espionne pas. Je ne fais que regarder. Catherine me répond très calmement, limite sensuelle : — Regarder ? Les photos que j’ai vues là, ce n’est pas juste pour « regarder ». C’est du voyeurisme pur. Elle se lève et me fixe droit dans les yeux, intensément, telle une féline qui regarde sa proie. Elle se penche, place ses mains sur mes poignets. — Ne bouge pas tes mains.— Je…— Chut, m’intime-t-elle immédiatement. OK, je ne dirai rien. Elle me lâche et sort de son sac à main deux paires de menottes. Là, j’ai un peu peur. Je n’ai jamais été attaché, encore moins avec cet instrument. — Ne crains rien. Et en plus, elle lit en moi comme dans un livre. Elle me fixe donc les mains à chaque accoudoir de mon fauteuil roulant. Je ne me sens pas trop bien. Le fait d’être entravé, à sa merci, soumis à son bon vouloir ne me convient pas trop. De plus, ce sont des menottes un peu particulières… Il n’y a quasi pas d’espace entre les bracelets. Elle approche son visage du mien, m’embrasse gentiment la joue, le cou. Ensuite, elle me murmure à l’oreille : — Rassure-toi, je ne ferai rien que tu n’aies pas envie. Ses douces ...
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