La rousse
Datte: 17/11/2020,
Catégories:
fh,
frousses,
fdomine,
hdomine,
Oral
attache,
voisins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... mains attrapent mon visage (comment fait-elle pour avoir les mains si douces ?). — Tu aimes mater, n’est-ce pas ? Je vais t’en donner pour ton argent. Elle se recule de quelques pas en ondulant de tout son corps. — Je peux brancher mon iPod quelque part ?— Oui, dans le meuble derrière vous, porte de gauche, il y a une petite station. Je n’arrive pas à la tutoyer. Même si je pense que les minutes qui vont suivre vont être du genre « sexe-à-tous-les-étages ». Elle branche son appareil sur le dock. Une musique très lascive, dont je ne reconnais pas l’interprète, sort des haut-parleurs de ma mini-chaîne hi-fi. Et elle se lance dans une danse hyper érotique. Et tout en dansant, elle se met à détacher son chemisier, en commençant par le haut. Elle s’arrête au troisième bouton… et penche son buste vers l’avant. J’aperçois ses seins, libres. — Tu apprécies le spectacle ? me demande-t-elle avec un regard lascif. Je ne peux qu’acquiescer. J’en bave presque. Catherine se redresse et se retourne, tortille du cul, en harmonie avec la musique. Dieu, que c’est sexy ! Elle place ses mains sur le côté de ses cuisses et remonte sa jupe avec une lenteur exquise. Lorsque j’aperçois le haut de ses bas (ce sont donc des bas), elle redescend sa jupe… Elle monte, elle descend. Jeu libidineux. Toujours de dos, elle se cambre et tend son magnifique cul vers l’arrière. Sa jupe est tendue à l’extrême. Elle recommence maintenant son petit jeu, mais se retrousse cette fois jusqu’à la taille. Et je ...
... découvre ses fesses, nues elles aussi, magnifiques ! Et un porte-jarretelles. J’ai du mal à rester en place, ma verge tendue n’est pas bien mise dans mon caleçon américain et me fait un peu mal. Je me tortille, j’essaie de remonter mon bassin pour atteindre mon entrejambe avec une de mes mains. Pas aisé avec une jambe immobilisée. En plus, ce n’est pas vraiment discret. Catherine m’entend gigoter et vient à ma rescousse. — Tu as besoin d’aide ?— Oui… mon… Hum… mon… truc me fait mal, il est mal mis.— Serait-ce une tentative pour te libérer ?— Non, pas du tout… Juste que…— Chut ! Catherine n’y va pas par quatre chemins. Elle descend pantalon et caleçon en même temps. — C’est mieux comme ça ?— Oui, merci.— Tiens-toi tranquille maintenant. Son ton me fait penser à celui d’une institutrice… Je me faisais souvent gronder étant gamin, je connais ça. Et j’entends aussi, dans son attitude, qu’elle aime diriger. Elle reprend sa danse lubrique. Débraillée comme elle est, ses vêtements ne me cachent plus grand-chose. Et c’est une vraie rousse, preuve en est ce triangle de poils juste au-dessus du pubis. Elle enlève son chemisier et me le lance sur la figure. Ne pouvant me servir de mes mains, j’ai beau secouer la tête, je n’arrive pas à m’en défaire. Je dois avoir l’air d’un con avec ça sur le visage. Par contre, j’ai deux odeurs savoureuses en plein nez. Son parfum, à la pomme, et son odeur corporelle, plus piquante, mais plus charnelle aussi. Alors que j’essaie, en vain, de me libérer la ...