1. La rousse


    Datte: 17/11/2020, Catégories: fh, frousses, fdomine, hdomine, Oral attache, voisins, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... figure, je sens ses mains se poser assez haut sur mes cuisses. Je me fige. Elle embrasse ma verge ! Je ne vois rien, mes mains ne me servent à rien, et je bande de plus belle. Petits baisers brûlants sur le gland qu’elle a décalotté. Ensuite, légers coups de langue un peu partout. Cet organe, ô combien sensuel, qu’elle fait courir, maintenant, le long de ma verge de plus en plus tendue. De plus en plus humide. Large lampée. Elle retire son chemisier de ma tête et me regarde fixement dans les yeux. Elle a toujours sa jupe autour de la taille. Elle m’enfourne, à présent. Mon sexe disparaît complètement dans sa bouche pulpeuse et humide. Terriblement humide. Les bruits de succion sont troublants. Ses mains ne restent pas inactives, elle me masse les couilles. Je grimace de plaisir. Sans doute qu’elle lit sur mon visage mon envie de ne pas aller trop loin parce que, entre deux va-et-vient, elle me susurre : — Ne te retiens pas ! C’étaient les mots à ne surtout pas prononcer, déclencheurs de mon orgasme. Je sens le foutre gicler en plusieurs saccades. Rhaaaa… Je continue à la regarder, mon phallus encore dans sa bouche. Elle n’avale pas ma semence, mais la recrache sur son torse. Putain, je n’ai jamais rien vu d’aussi salace : elle se masse les seins avec mon sperme ! Et un énorme sourire illumine son visage. — Il paraît que ça raffermit la poitrine ! me dit-elle avec un clin d’œil. C’était bon ?— Je n’ai jamais connu un orgasme aussi intense avec une fellation.— Tant mieux. Dis… ...
    ... je dois faire pipi depuis tout à l’heure… Où se trouvent les toilettes ?— Au bout à droite. Elle se redresse, me tourne le dos et se dirige vers le couloir. Dès que j’entends la porte se refermer, j’enlève les accoudoirs de mon fauteuil roulant et fais coulisser les menottes pour me libérer, en partie seulement. Je fonce vers ma chambre en essayant de faire le moins de bruit possible et en éteignant tout sur mon passage. Ma chambre est plongée dans une semi-obscurité. Il n’y a que la lumière de l’extérieur qui donne un peu de clarté. Elle sort des toilettes et je l’appelle. — Viens par ici. Je l’entends qui tâtonne. J’ai pu m’habituer aux ténèbres, elle pas encore. Elle s’approche. — Couche-toi sur le lit. À mon tour de jouer le dominant. Elle se baisse un peu, les mains en avant, et découvre mon lit. Elle s’y allonge sur le ventre. — Retourne-toi, bras et jambes en croix. Ça m’excite de donner des ordres… Et plus encore qu’elle m’obéisse. Je sors de mon fauteuil, rampe comme je peux vers son corps et j’embrasse tout ce qui me passe par la bouche. Les pieds, les chevilles et les mollets. Je lèche l’intérieur de ses cuisses, un des endroits que j’affectionne le plus chez une femme. Lorsque mon nez arrive près de sa toison, j’en fais le tour. Léchant et embrassant encore et encore. Je sens un tressaillement dans son corps. Je m’approche dangereusement de sa vulve, mais ne l’explore pas encore. La respiration de Catherine devient de plus en plus profonde. Elle remue un peu les ...
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