1. La rousse


    Datte: 17/11/2020, Catégories: fh, frousses, fdomine, hdomine, Oral attache, voisins, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... jambes. — Ne bouge pas ! Elle s’arrête aussi net, poussant un soupir. Je continue ma « torture », allant et venant, reprenant mes caresses buccales, redescendant sur les cuisses. Mon pénis, relativement mou jusqu’ici, redevient phallus. D’un coup, je m’avance vers son sexe et donne un grand coup de langue sur toute la hauteur de celui-ci. Elle pousse un cri. Je goûte avec délectation le jus qui s’en écoule. Enivrant. Tellement enivrant que je ne peux m’empêcher de lui bouffer la chatte. Tout y passe, avec extase. Je n’ai plus aucune retenue. Grandes lèvres que je suce, petites lèvres que je mordille, le clitoris que je déniche et que je lape. Elle gémit, attrape ma tête pour la guider là où son désir est le plus grand. Le clitoris est, apparemment, l’endroit le plus sensible. Et la jouissance la cloue sur place. Elle essaie de refermer les cuisses, mais ma tête fait obstacle. Elle se contorsionne encore et encore pour se soustraire à ma bouche. Je lâche prise, elle aussi, gémissant toujours. Catherine se racrapote en position fœtale. Je m’allonge à ses côtés, pose la main sur sa nuque et la caresse légèrement. Elle se retourne et vient se blottir contre moi, pose sa tête dans le creux de mon bras. Impression de protection. Et j’en suis assez fier. Sa respiration se calme. Elle soupire encore un coup et murmure : — Alors toi, tu sais y faire !— C’est bien la première fois qu’on me dit ça.— Je t’assure que tu es un as de la langue. Tu lèches comme une femme. Elle remonte la ...
    ... tête et vient m’embrasser sensuellement. Après ces moments d’excitation intense, ça fait du bien de se calmer un peu. — Je peux dormir ici cette nuit ?— Je vais être franc avec toi… J’ai déjà des difficultés à dormir en temps normal. Mais là, il y a deux éléments perturbateurs : mon plâtre et ton corps !— Perturbateur ?— Oui, je ne vais pas pouvoir m’empêcher de te sauter dessus toute la nuit !— Perturbateur, donc. Je comprends. Laisse-moi encore quelques minutes, ensuite je m’en irai.— Pas de problème. Mais j’aimerais que tu m’enlèves ceci. Je lève mon poignet auquel sont toujours accrochées les menottes. Elle rit. — Je vais chercher les clés. Après m’avoir complètement libéré, elle se recouche à mes côtés et s’endort, quasi instantanément. De mon côté, je ne peux pas résister à l’appel de Morphée bien longtemps. —o–o— Je me réveille. Quatre heures dix-huit. Et je suis seul dans mon lit. J’ai du mal à croire ce qu’il s’est passé hier soir. Cette femme, c’est de la bombe ! En me retournant péniblement, je remarque un bout de papier sur ma table de nuit. Mmmmm… Pas avant ? Merde. J’essaie de me rendormir. —o–o— Après quelques recherches infructueuses sur Google, je me pose tout de même pas mal de questions sur ma charmante Catherine. Dans quel service m’a-t-elle dit qu’elle travaillait ? Les mœurs ? Je ne trouve aucune information à son nom. M’aurait-elle donné une fausse identité ? Après les moments passés avec elle, je me demande si tout ceci est bien sérieux. Je ne le connais ...
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